"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Trop souvent je ne lis pas vraiment, je joue au fakir, je marche sur les mots ; un frais torrent ignore mes chevilles. » Avec « La grande nuit des mains qui se serrent », Emmanuel Dall'Aglio nous conduit au plus proche de ses sources. Après avoir écrit plusieurs livres de poèmes, publiés notamment chez Cheyne Éditeur, il entre maintenant dans son essentiel. Ces Carnets, d'une rigueur heureuse où l'auteur se courbe face au vent de l'esprit, s'ouvrent devant nous comme un viatique. Journal spirituel sans concession qui nous révèle le noyau dur d'une vie. Ce livre est aussi un voyage où Emmanuel Dall'Aglio nous conduit au bout du monde grâce à sa passion pour les pêches lointaines et où il observe les lumières infimes du quotidien. On y rencontre, entre autres, l'Ecclésiaste, Marc-Aurèle, Henri Michaux, Pascal et le curé d'Ars ... *** « La solitude ? Le silence ? - guère plus que des ingrédients. »
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