"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans un Moyen Âge où le christianisme annihile toute autre croyance, le monde de Faërie meurt sous l'impulsion de forces démoniaques. Pour le sauver de la destruction, la Reine des fées confie à Igguk Plitchwook, «la mémoire des Elfes», la mission de rechercher le Coeur de Cristal. Pour cet alchimiste elfique, il s'agit là du début d'extraordinaires péripéties.
Ce deuxième tome entraîne Igguk dans les entrailles de la terre, au tertre de la Reine, où loge le cerbère qui protège d'immenses trésors.
Ce second opus est franchement en dessous de la moyenne. Le scénario est vraiment de plus en plus nébuleux. Il donne la sensation que Civiello s'est inspiré de plusieurs histoires, à fait ensuite un mélange, et nous propose ce mix. Il a un arrière goût de quelque chose, mais sa trame est complètement perdue dans des méandres compliqués. Encore une fois, nous sommes subjugués par le talent d'illustration de Civiello.
En parlant de texte, j'avais été choqué de temps en temps par le vocabulaire utilisé, mais ce deuxième épisode est encore plus anachronique. Il y a des expressions qui n'ont rien à faire dans un univers tel que celui-ci. Le choix des auteurs à ce niveau est vraiment contestable et fait perdre le peu de crédibilité que cette saga pouvait avoir.
C'est pas très bon, mais on continue la saga car le travail de Civiello est carrément époustouflant.
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