"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Il existait tout au fond de la forêt une bête immonde qui à la nuit tombée venait enlever les enfants au village. Elle les rapportait ensuite au fond de sa forteresse cachée et les dévorait. On appelait ce monstre la femme chat. À la lisière de cette même forêt vivaient seuls, un vieux chasseur et son fils. Un jour sur le chemin de la bibliothèque publique, le fils du vieux chasseur fut à son tour pris au piège par la femme chat. Prisonnier au fond d'un cachot souterrain, il va tenter de survivre en étant livré à lui-même face à la femme chat qui désire le manger; tandis que son vieux père le chasseur part pour une dernière expédition forestière en espérant le trouver à temps... La Femme chat s'inscrit dans la continuité graphique et narrative du Voleur des Mers (2015) et dévoile un récit sous forme de conte référencé à la littérature enfantine scandinave et à Tommy Ungerer, illustré par des dessins au pochoir dans la filiation du mouvement constructiviste avec une sensibilité proche de Vladimir Lebedev ou Elisabeth Ivanovsky.
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