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«Si l'humour est la politesse du désespoir, Istvan Orkény est un homme souverainement poli. Il estime avoir eu beaucoup de chance dans sa vie. En 1942, il a la chance d'être fait prisonnier par les Russes, alors que les Hongrois l'avaient jeté comme juif (catholique au reste depuis deux générations, et de surcroît jeune intellectuel de gauche) dans un camp réservé aux travailleurs sans armes (que leurs propres cadres s'employaient à exterminer). Après l'octobre hongrois, en 1956, il a la chance de ne pas aller en prison comme son ami Tibor Dery, mais de rester six ans dans une usine, hors-la-loi de la littérature. Son retour, en 1965, avec un recueil de contes, un roman, puis au théâtre La Famille Tot (prononcer Tott) consacre enfin Orkény comme un des meilleurs écrivains hongrois d'aujourd'hui. Créée en 1966 avec un immense succès à Budapest (en 1968 à Paris), La Famille Tot c'est une sorte de «Comment se débarrasser de l'occupant». Un beau matin débarque chez les paisibles Tot un étrange et tyrannique commandant. Comment ils finiront par s'en débarrasser, c'est toute l'histoire de cette grande Farce profonde aux arrière-plans subtils et amers d'apologue. On comprend en lisant Orkény le sens de l'expression : Un rire libérateur.» Claude Roy.
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