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Dans la traversée de la vie, de ses tout-débuts jusqu'à son extrême fin, dans ses liaisons possibles avec le plaisir ou dans sa radicalité mélancolique, la douleur reste la compagne fidèle du corps et de psyché.
La douleur relève de l'effraction, par rupture des barrières, par excès d'excitation, une implosion violente qui déborde les limites du moi-corps. Si le privilège est accordé à l'expérience de satisfaction dans la construction du psychisme, du moi et de ses objets, dans la création des fantasmes et des représentations, la douleur fait toujours retour, comme expérience humaine inéluctable et sans doute indispensable parce que toujours liée à la perte d'objet.
Catherine Chabert, professeur à l'Université Paris V, Laboratoire de psychologie clinique et de psychopathologie, psychanalyste, membre de l'APF.
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