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La dernière bande

Couverture du livre « La dernière bande » de Alex Barbier aux éditions Fremok
  • Date de parution :
  • Editeur : Fremok
  • EAN : 9782930204710
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Après 36 ans de déloyaux services au profit de la bande dessinée, Alex Barbier remet son tablier avant un arrêt définitit. Il n'a plus rien à dire. Il a tout dit. Il est vidé.
Et pour cause, cette « Dernière Bande », plus hard, poétique et vénéneuse que tout ce qu'il a fait jusqu'à... Voir plus

Après 36 ans de déloyaux services au profit de la bande dessinée, Alex Barbier remet son tablier avant un arrêt définitit. Il n'a plus rien à dire. Il a tout dit. Il est vidé.
Et pour cause, cette « Dernière Bande », plus hard, poétique et vénéneuse que tout ce qu'il a fait jusqu'à présent.
Célébrons cet adieu à la scène et accueillons avec perte et fracas cette oeuvre ultime.
Voici ce qu'en dit l'artiste sur le départ:
« Après, terminé! Plus personne n'entendra parler de moi. Cette chose, est en effet venue comme une conclusion.
Je désire brasser tous mes thèmes, toutes mes ambiances, tous mes paysages, tous mes personnages, et ainsi récapituler, résumer, pour moi-même, une histoire, celle de MES B.D., celles qui m'ont fait, triste chose que je suis ... » Inventeur de la couleur directe, Alex Barbier a infusé le trouble littéraire et pictural de la contre-culture dans le champs de la bande dessinée. Peintre de la chaire désirante, il revient pour un ultime tour de piste, son adieu à la bande dessinée.
Héritier de William Burroughs et Céline autant que de Francis Bacon, il livre ici son oeuvre la plus violente et incarnée, la plus charnelle et incendiaire.
Après la réédition de ses livres historiques Lycaons et Le Dieu du 12, après sa trilogie Lettres au maire de V, il ramasse et remet sur le tapis le théâtre de ses obsessions : Le casino de V. et son dernier habitant confronté à ses ruines d'humanité. Reclus dans ce lieu improbable, livré aux sarcasmes de politiciens extraterrestres, dans un dernier geste avant la dislocation, il convoque la cuisine italienne, ses jeunes amants pasoliniens, autant que des figures de la bande franco-belge dans un ballet séminal de fureur et de désir.

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