Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Chacun sait que la « critique sociale » n'a pas son origine au cinéma et qu'elle est née quelque part du côté de chez Marx. Mais, dans une période où se multiplient des films comme It's a free world ! (K. Loach), Louise Wimmer (C. Mennegun), Une vie meilleure (C. Kahn), Dans la tourmente (C. Ruggia) ou La mer à boire (J. Maillot), la question du rapport entre le cinéma et la critique sociale retrouve une actualité qu'elle n'a plus eue depuis les années 70. Dans ce contexte, Franck Fischbach montre que la critique sociale n'est ni un genre, ni un style cinématographique, mais une fonction que certains films mettent en oeuvre parmi d'autres fonctions et quel que soit leur genre d'appartenance. Mais comment situer alors la fonction de critique sociale par rapport au genre du cinéma politique ? Et quels sont les instruments et les dispositifs proprement filmiques d'une critique sociale cinématographique ?
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