"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« La cathédrale gothique est l'expression suprême de la corruption des regards. Une fois de plus, les corps d'artisans et d'architectes se subordonnent au pouvoir - l'argent est du côté de l'Église. » [Et] « Nous voici arrivés aux portes du monde contemporain. La corruption des regards est omniprésente. De nombreux penseurs la découvrent dans sa forme contemporaine en ignorant les sources. » La Corruption des regards remet en question frontalement l'habitude contre nature de l'obéissance sans discernement héritée des siècles passés. Des débuts de l'ère chrétienne jusqu'à nos jours, l'auteur s'empare des grandes périodes de notre histoire [de Latran à l'intelligence artificielle ; des Pères de l'Église à la Réforme ; des Évangiles au communisme ; des Lumières au surréalisme... pour démontrer et démonter les mécanismes insidieux qui toujours nous gouvernent. Au fil des temps et des pages, sont convoqués : Guillaume d'Ockham et Thomas d'Aquin ; Luther et Calvin ; François d'Assise et Bernard de Clairvaux ; Guy Débord et Noam Chomsky ; André Breton et Philippe Soupault... jusqu'à Michel Polac, Simone Veil et quelques autres encore. L'auteur, J.L. Clément, né en 1952, est avant tout autodidacte. Son éducation, d'abord négligée et confuse, s'est reconstruite tardivement au contact du surréalisme et à la lecture de la philosophe Marie-José Mondzain, théoricienne des images.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !