Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Mars 1652.
Au milieu du XVIIe siècle, Alexandre d'EMBRELAT, un jeune homme d'à peine dix-huit ans, se met en tête de retrouver les mercenaires qui ont assassiné son grand-père et son père dix ans plus tôt.
Sachant bien qu'il ne peut conduire sa quête seul, il forme un équipage aussi hétéroclite que complémentaire. Ensemble, ils devront découvrir les activités secrètes de son aïeul avant de se confronter aux arcanes de la politique menée par le Cardinal Mazarin. La Fronde, avec ses intrigues, complots et autres conjurations, refait surface et le jeune enquêteur risque de compromettre, par son enquête, la paix civile qui vient d'être conclue par le premier des ministres du tout jeune roi Louis XIV. Mais pour une raison qu'il ignore, le Cardinal décide de laisser Alexandre continuer ses investigations, au risque de faire remonter à la surface des secrets qu'il serait préférable de garder enfouis.
Durant cette aventure, Alexandre devra faire preuve de sagesse, de ruse et d'habileté, épée en main. Ses amis seront là pour l'y aider, avec bienveillance, n'en doutons pas.
Un roman de cape et d’épée !
Le grand-père et le père d’Alexandre d’Embrelat sont assassinés par une bande apparemment organisée et commanditée ? Par qui ?
Alexandre est recueilli par un couple, intendants du domaine familial qui l’élèvent avec amour, son éducation intellectuelle étant assurée par un précepteur surnommé le Maestro.
Maître Saratxaga, notaire détient les dernières volontés des seigneurs disparus. Quant à Blaise, l’intendant qui l’a élevé, il détient, dans une cachette, une mallette contenant un étrange message apparemment codé.
C’est à partir de ce message qu’Alexandre crée la Confrérie de l’Echelle, dont les principaux membres sont : Blaise, son père adoptif, Maestro, le Notaire Saratxaga, Marie, la femme de Blaise, Angelo, rescapé du carnage qui a tué son père et son grand-père . Equipe qui va essayer et réussir à décrypter le message. Ils embaucheront par la suite Joseph, ami d’Angelo et Tristan, le palefrenier.
Ce message va finir par les conduire à Mazarin qui va leur apporter son soutien et les aidera discrètement à élucider l’énigme et retrouver le commanditaire de l’assassinat des Embrelat.
Ce roman écrit sur fond historique à l’époque de Richelieu, puis Mazarin, est un roman de cape et d’épée. Ce n’est ni les trois Mousquetaires, ni le Bossu mais je pense d’Eric Lambert s’en est un peu inspiré pour écrire son roman.
Si j’ai bien compris il s’agit d’un premier roman. L’auteur a eu la chance de trouver un éditeur ce qui est un grand pas franchi ! Bien que cet auteur ait laissé passer quelques maladresses orthographiques et grammaticales.
J’avais vu de beau retours qui m’avaient donné envie de lire ce roman. Je ne suis pas déçue, Eric Lambert a une plume fluide et un bon sens des romans d’action. Son livre se lit facilement. C’est un très bon début. J’ai bien aimé (moi qui ne suis pas fan de romans historiques).
Je classerais ce livre dans les romans historiques et le recommanderais plus particulièrement à des adolescents ou de jeunes adultes.
J’ai lu ce livre dans le cadre du prix des auteurs Inconnus , catégorie Littérature blanche.
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J'adore tout ce qui touche au genre "cape et épée" que ce soit en livre ou en film, donc c'est tout naturellement que je me suis portée sur ce livre. Et je ne fus pas déçue pour un sou !
Histoire : Le seigneur Alexandre, découvre la vérité sur le décès de ses parents. Afin de venger sa famille, il part sur les traces des assassins qui le mèneront à la capitale, un Paris sous l'ère du Cardinal Mazarin.
Le roman est en deux parties : une première où l'on découvre le contexte, la vie de la famille d'Embrelat dans la campagne orléanaise, la seconde avec le voyage à Paris. Là-dessus, il faut rajouter de l'amitié, du mystère, des énigmes, et un soupçon d'amour et de trahison. Tout est bien dosé, structuré. Cependant, bah oui, il faut bien un petit bémol, j'aurais bien aimé un peu plus de machiavélisme, ce qui fait que par moment, on se repose un peu trop. Et j'avoue, que j'ai soupçonné tout le monde pour savoir qui allait trahir et finalement non. Mais malgré cela, j'ai bien aimé l'histoire et j'ai tourné les pages sans réelle pause.
Personnage : Je ne vais pas trop parler des personnages, car pour certains, qui sont importants, cela pourrait dévoiler l'intrigue. De manière générale, je trouve qu'ils sont bien construits, se dévoilent au fur et à mesure et respectent le code de l'époque. Chacun a sa place autant dans l'histoire que l'Histoire. Deux petits reproches que je pourrais faire : les personnages ont parfois des réactions « simples » avec un petit côté naïf, et par moment cela manque un peu de profondeur. Certes on voit la progression d'Alexandre au cours des aventures, mais j'aurais bien aimé en voir certains soit un peu plus sombre, soit un peu plus complotiste.
Plume : C'est ici que je vais avoir le plus de choses à dire, mais attention, ce n'est que mon avis personnel et en aucun cas cela remet en cause la qualité du roman.
L'auteur a une très belle plume, fluide, on ne lâche pas le livre, car on veut savoir ce qu'il va se passer après. Même quand cela devient un peu longuet, l'auteur sait créer une tension, un appel à "oui, faut lire le prochain chapitre" et ça, c'est vraiment top.
Pour moi, quelques points négatifs :
Par moment, le texte manque « d'espace » et on étouffe un peu. Ce n'est pas dans tout le texte mais il est vrai que parfois, on se retrouve avec un très grand paragraphe (un pavé ^^ ) et on ne sait pas quand cela va s'arrêter pour pouvoir reprendre son souffle. Mais malgré ces manques d'espaces, j'ai eu du mal à laisser le roman pour faire autre chose.
Il y a manque de clarté dans l'enchaînement des situations. Ex : ils se promènent, parle du repas et la ligne suivante, ils ont finis le repas. Un peu rêche comme transition. Et ce manque de clarté est en lien direct avec le manque d'espace cité juste au-dessus.
La narration au présent. Alors ça, c'est quelque chose avec laquelle j'ai énormément de mal. Je n'arrive pas à lire un texte qui est écrit tout au présent de narration, mon cerveau transmute directement au passé simple ou passé composé. C'est un choix de l'auteur et bien sûr, je le respecte.
Le danger quand on écrit un texte d'époque, c'est de faire des anachronismes. Là où je tire mon chapeau, c'est que l'auteur a réussi à mettre du vocabulaire, des formulations qui pour nous sont désuètes mais qui pour l'époque étaient normales. Par contre, il y a un point qui me chagrine réellement et je ne peux pas vous dire quel est-il exactement, sinon je vous spoile, mais il y a l'utilisation d'un mot, qui pour moi, n'est pas cohérente dans ce roman autant niveau de la prononciation que de l'usage. Après c'est ma formation de linguiste qui ressort et qui a envie de chipoter. Malgré cela, qui n'est que du chipotage, c'est une superbe lecture, très documentée.
Titre : Je ne vais pas vous dévoiler qui est la « confrérie de l'échelle ». Moi, je m'attendais à une certaine direction et l'auteur a réussi à me surprendre en proposant une autre direction. Le titre reflète bien le roman et l'explication du choix du titre est explicite dans le roman. Seul hic pour moi, c'est ce nom « de l'échelle » et il est un peu à l'image du trait que j'ai souligné dans les personnages, à savoir ce côté « simple », naïf. Pour moi, mais ce n'est que mon point de vue, ça ne claque pas assez comme nom de confrérie, même si c'est justifié.
Bref, malgré mes chipotages, c'est un superbe roman et si vous aimez ce genre, je vous le conseille les yeux fermés ! Enfin, il les faut ouvert pour pouvoir lire ^^
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