Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Les dieux créèrent l'homme, et chaque dieu choisit son peuple. Mais Torak, le dieu jaloux, vola l'Orbe d'Aldur, le joyau vivant façonné par l'aîné des dieux, et ce fut la guerre. Le félon fut condamné à un long sommeil hanté par la souffrance.
Les siècles ont passé sur les royaumes du Ponant. Les livres des présages sont formels : Torak va s'éveiller. Et l'Orbe a disparu pour la seconde fois. Que le maudit la trouve à son réveil et il établira son empire sur toutes choses. Belgarath le sorcier parviendra-t-il à conjurer le sort ? Dans cette partie d'échecs cosmique, il a réussi à préserver une pièce maîtresse : le dernier descendant des Gardiens de l'Orbe. Un simple pion, et si vulnérable...
Le monde était jeune alors, les Dieux vivaient en harmonie et les hommes ne formaient qu’un seul peuple. Aldur le Sage façonna un globe au pouvoir immense, l’Orbe. Mais Torak, le dieu jaloux, s’en empara au prix d’une main et d’un visage brûlé, et plongea l’univers dans le chaos. L’Orbe fut caché. Les dieux se retirèrent et les hommes se divisèrent. De nombreux siècles plus tard. L’Orbe a disparu à nouveau. L’immortel sorcier Belgarath sait que l’avenir de l’humanité repose sur un unique mais très vulnérable pion, le jeune Garion, âgé d’une quinzaine d’années, qu’il avait confié des années plus tôt à Dame Pol alors qu’il n’était qu’un nourrisson orphelin. Il n’est donc qu’un petit valet de ferme qui ignore tout de son ascendance et de sa destinée.
« Le pion blanc des présages » est le premier tome d’une trilogie titrée « La Belgariade » relevant des sagas de fantaisie à l'américaine. La quatrième de couverture proclame que cet ouvrage est un « cycle majeur qui trouve sa place aux côtés du « Seigneur des Anneaux ». Cette affirmation demande à être précisée. L’auteur (ou plutôt les auteurs car Eddings a écrit avec son épouse semble-t-il) s’est très largement inspiré du chef-d’œuvre absolu de Tolkien. L’ennui, c’est que l’élève n’arrive pas à la cheville du maître. Il fait du Tolkien sans le souffle, sans la mystique et sans l’esprit ! Par exemple, il a juste remplacé l’anneau magique par une boule magique et le hobbitt par un valet de ferme. Et on pourrait continuer longtemps dans les comparaisons sur les personnages. Le pire vient de la faiblesse de l’intrigue. Il ne se passe pas grand-chose dans ce premier tome. On présente les personnages et on commence une très longue quête de l'Orbe un brin ennuyeuse. Seul point positif : le style est très fluide, ce qui permet une lecture aisée et agréable.
Une entrée en la matière réussie...en quelque sorte.
Ici nous faisons la connaissance de Garçon, un garçon orphelin qui vit avec sa tante Pol sur
le domaine d'un petit seigneur où celle-ci fait la cuisine. Au fil du temps, il se rends
compte qu'il est surveillé mais n'y prête pas attention car il est plus préoccupé par ses
déboires d'adolescent. Quand Sir Loup, un vieil homme qui conte les histoires des grands
dieux arrive un jour, il est grand temps de partir avec tante Pol à la recherche de quelqu'un
ou d'un objet. Au cours de leur périple, ils vont se joindre à un petit groupe d'hommes qui
au premier abord ne payent pas de mine, mais qui s'avèrent être des gens à qui il ne faut pas
chercher de noises. Ils vont tous parcourir un peu de chemin pour se retrouver à chaque fois
dans le collimateur d'un espion. Mais qui est donc cet homme, et surtout quels rôles ont-ils
tous à jouer dans cette histoire. Pourquoi Garion ne sent il pas à sa place? Et surtout que
lui cache tante Pol, et pourquoi à t'il ce sentiment de trahison envers elle.
Bon on ne va pas se mentir, j'ai adoré l'univers que David Eddings nous dépeint.
Après le début où on est noyé sous une multitude de personnages, de dieux et de prophétie,
on entre vite dans le récit. En effet la plume de l'auteur est d'une fluidité parfaite, très
poétique par moment et sans longueurs là où peut-être il en aurait fallut.
J'ai aimé le destin du garçon qui ne nous est pas encore totalement dévoilé mais dont on en
apprends un peu par-ci par-là mais j'ai surtout aimé cette quête où chacun a son rôle à jouer.
Les personnages sont tous attachants, ils ont tous leur petit truc qui fait qu'on ne veut pas
se séparer d'eux.
On prends aussi plaisir à écouter Sir Loup conter les histoires des royaumes, mêlant
mythologie et prophétie, mais toujours sous couvert d'anonymat.
En effet ici, certains personnages ne sont pas ceux qu'ils prétendent être mais on le sais
dès le départ même si les mots ne sont pas mis.
Et c'est d'ailleurs ce petit point qui me chiffonne, on voit les choses venir dès le début
de leur quête avec tout les indices qui sont disséminés tout au long du récit.
J'ai surtout aimé ici le sens de la répartie des personnages et leur humour, on ne s'ennuie
jamais tellement il y a de l'action. Le roman se lit très vite, surtout grâce aux nombreux
dialogues qu'il comporte. J'ai vraiment hâte de retourner dans cette saga pour retrouver tous
nos héros, pour voir comment va évoluer Garion maintenant un peu au courant de son histoire.
En bref, parfait pour commencer dans la Fantasy malgré le trop grand nombre de personnages
qui pourrait faire perdre la tête. Mais un fantasy qui se lit très vite, très bien, avec une
touche d'humour mais dont on voit les choses arriver très rapidement.
Ah, David Eddings. Ah, Garion, Sire Loup alias Belgarath, Tante Pol alias Polgara. Et mon préféré, Silk, le prince voleur, manipulateur, dissimulateur, malin comme un renard…
Comme c’est souvent le cas dans les grandes séries d’heroic fantasy, Garion est l’un de ces personnages qui se retrouvent, alors que rien ne les y a préparé, confronté à un choix : seront-ils des héros, des traîtres, affronteront-ils le danger, ou fuiront-ils ? Cette alternative n’est jamais neutre : qui de nous peut dire comment il réagirait, confronté à un tel choix ?
Garion, donc, se retrouve d’abord confronté à une interrogation tellement humaine : il sait que ses parents sont morts, mais il ignore tout de ses origines. C’est donc à cette première quête – qui pourrait déjà être la quête d’une vie – qu’il fait face. Mais les enjeux vont petit à petit grandir, et la mise fait de même. Parti de la ferme de Faldor, il se retrouve progressivement à fréquenter rois et reines. Mais il n’est qu’un enfant, et, à ce titre, personne ne fait attention à lui. Puis il apparaît qu’Asharak, un de ces terribles Grolim, s’intéresse en réalité de très près à lui. Qui est-il donc, cet enfant ? D’où vient cette marque de naissance argentée sur la paume de sa main ?
Et, de ci, de là, dans le livre, il y a des maximes qui font réfléchir. La citation donnée plus haut, je l’avais oubliée. Mais elle constitue l’une des choses importantes que j’ai apprises : si quelqu’un pose une question, il ne faut pas chercher à le protéger de la réponse. Et cela vaut pour moi : j’essaye de toujours me rappeler que, si je pose une question, je dois être prêt à en entendre la réponse… Une sagesse qui vaut dans beaucoup de domaines de la vie…
Le meilleur concurrent (trop peu connu) du Seigneur des Anneaux, d’après moi.
Le monde inventé par David Eddings est prodigieux, les personnages sympathiques et l'histoire de la quête addictive.
Cela faisait bien longtemps que je n'avais lu un aussi bon roman de fantasy depuis le Seigneur des Anneaux. D'ailleurs, sous bien des aspects, ce premier tome égale facilement l'oeuvre du maître.
On se prend très rapidement à l'histoire et chaque page nous donne envie de continuer et de connaître la suite.
Mais où David Eddings dépasse Tolkien, c'est sur les personnages. Leur description physique comme psychologique est indéniablement excellente et les dialogues sont sublimes.
Un très bon roman qui présage une suite encore plus excitante.
une série excellente avec beaucoup d humour et des personnages attachants! à lire absolument!
Très bon livre de fantasy pure, avec en bonus de l'humour et une découverte d'un monde très élaboré par l'auteur!
un grand moment de plaisir.
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