"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Jean-Pierre, la cinquantaine, peintre courant après le succès et l'argent, rencontre la femme d'un riche banquier désireux de monter une galerie d'art. C'est le coup de foudre, un amour torrentiel... qui ne dure que trois mois. Pour Jean-Pierre, c'est le trou noir. Alors il se met à écrire et écrire sur cet amour perdu et cette femme qu'il ne désigne que par la majuscule L, pour l'assonance. Des pages et des pages d'un journal intime où il ressasse les jours heureux, mêlés aux souvenirs d'autres femmes, à ses rêves, aux livres qu'il lit, aux films qu'il voit. Peu à peu, sa douleur se mue en rage et au désir de meurtre. Va-t-il passer à l'action? Mais sur qui? Avec une écriture torrentielle, Jean-Pierre Andrevon déverse ses fantasmes à travers ceux de son personnage-frère, dans ce qui clôt, après Tout à la main et Toutes ces belles passantes, sa trilogie sur La Femme, aimée et mortifère.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !