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Chili, années de la dictature de Pinochet.
M, une petite fille, accompagne D, son père représentant en quincaillerie, dans ses tournées et se passionne pour les objets qu'il vend tant ils lui paraissent être l'ordre même de l'univers. Elle rencontre ainsi les autres voyageurs de commerce, qui constituent «une famille sans parents et donc plus supportable qu'une autre», aide son père à falsifier ses notes de frais, écoute les histoires, drôles ou tragiques, des uns et des autres... jusqu'au jour où son monde se délite.
Avec Kramp, cet objet littéraire inattendu et d'un charme indéfinissable, María José Ferrada incarne une voix nouvelle et puissante de la littérature chilienne.
Kramp, c’est le nom de la société dans laquelle travaille D, le père de M, la narratrice.
L’action se déroule au Chili, on ne sait dans quelle ville, mais peu importe.
J’ai été étonnée que M, à 7 ans, suive son père sur les routes et l’aide dans son métier de VRP.
J’ai aimé qu’un autre voyageur de commerce, E, cherche les fantômes de la dictature chilienne.
J’ai trouvé cette petite fille très distante vis à vis de son père au fur et à mesure où elle grandit.
Enfin, j’ai aimé l’arrière plan de la dictature juste esquissé.
L’image que je retiendrai :
Celle du Grand Menuisier que M imagine Dieu de l’Univers, elle qui compte en valeur de clous, vis et marteaux.
https://alexmotamots.fr/kramp-maria-jose-ferrada/
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