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C'est un drame violent, sauvage, presque poussé jusqu'au blasphème, un drame de la folie sexuelle et religieuse que met en scène, d'une façon superbe, le roman de Jacques Chessex, cet écrivain vaudois que L'Ogre, prix Goncourt 1973, a imposé chez nous.
Jacqueline Piatier, Le Monde. Fascinant, chaleureux, envoûtant, maniant avec un étrange bonheur le sens religieux et l'érotisme violent, ce roman éclate d'abord par sa singularité farouche et la force avec laquelle il entraîne le lecteur happé, sans crier gare.
Gilles Pudlowski, Paris Match. Alcool, luxure, cantiques, sadisme, purïfication, quel détonant mélange! Des Rameaux jusqu'à la fin de la Semaine sainte, le scénario pascal est poussé jusqu'à la parodie. Mais si d'aventure le lecteur la trouvait excessive, qu'il se souvienne: on a vu bien pire, en Californie, en Guyane et ailleurs.
Hervé Bazin, Journal du Dimanche. Voici, version Satan ou Chessex, Le Cantique des Cantiques hurlé par une poignée de hyènes.
Patrick Grainville, VSD
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