Ce road-movie intimiste est l'une des BD à ne pas manquer en cette rentrée
«Pendant quatre siècles, la peinture ne cesse d'accentuer son but historiographique qui se manifeste aussi bien par la peinture d'histoire proprement dite - et qui doit comprendre logiquement le portrait - que par la peinture de genre qui est la petite histoire. Puis, au XIX? siècle, le but apparent et le but profond de la peinture arrivent presque à se confondre, dans le paysage et la nature morte qui sont étude désintéressée du monde extérieur et d'où tout caractère épique, narratif, est absent. C'est après 1850 que la peinture abandonne l'historiographie ; c'est la photographie et plus tard la cinématographie qui vont s'en charger. [...]Ce sont les mouvements picturaux de 1860 à 1920, de l'impressionnisme au cubisme, qui représentent l'aboutissement ultime de cette investigation. Dans le cubisme, elle finit par se muer en son antithèse. Poussée à son extrême, elle arrive à anéantir la croyance en l'existence matérielle de ce monde extérieur à l'étude duquel elle s'était acharnée. Elle le replace dans l'imagination de l'artiste créateur.Un des buts de ce livre sera de montrer comment s'est opéré ce retournement chez les peintres cubistes, et dans quelle mesure Juan Gris en a été l'artisan.»Daniel-Henry Kahnweiler.
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