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Où l'on retrouve Radko Suban, le héros de Printemps difficile (Phébus, 1995) qui révéla au large public l'oeuvre du romancier slovène Boris Pahor (né à Trieste en 1913), considéré aujourd'hui comme l'un des écrivains majeurs du vaste champ littéraire de l'Europe de l'Est.
Une autre fiction largement autobiographique aimantée elle aussi par les terribles souvenirs de la dernière guerre : où l'on suit l'aventure d'un jeune étudiant en théologie qui s'éloigne peu à peu du Ciel en découvrant la sanglante absurdité de l'Histoire - un itinéraire qui le conduira, à l'issue d'un engagement dans les rangs de la Résistance, à affronter l'expérience-limite des camps de la Mort...
Et le terrible apprentissage de la condition d'Homme (au sens où Primo Levi entendait ce mot énigmatique censé nous désigner tous). Sentiment de la presse à l'heure de la révélation en France de l'écrivain et de son oeuvre : " Qui connaît Boris Pahor ?... éblouissant écrivain dont on découvre enfin ce roman poignant : Printemps difficile... Un chef-d'oeuvre. " Jean-Luc Douin/Télérama
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