"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année
Sa vie durant, Virginia Woolf a tenu un journal. Des 26 volumes qui ont fini par le composer, son mari Leonard Woolf a choisi d'extraire certains passages, notamment centrés sur son travail d'écrivain et de critique littéraire, mais pas seulement. En résulte un livre débordant de vie et d'une passion difficile à contenir, et qui mêle anecdotes, réflexions sur l'écriture, confessions intimes, mais aussi considérations amères sur un monde lacéré par la guerre ; le livre d'un écrivain porté par " l'insatiable désir d'écrire quelque chose de valable avant de mourir ; le sentiment dévorant de la brièveté et de la fièvre de la vie. " A mi-chemin entre la littérature et la vie, ces pages offrent le portrait le plus direct et le plus fascinant d'un immense auteur, et de son époque.
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