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Jedermann, l'Homme, voit venir à l'improviste sa dernière heure : comment l'emploiera-t-il pour mettre de l'ordre dans le désordre de sa vie ?
Sur cette idée simple, inspirée d'une « moralité » anglaise du Moyen Âge qu'il a entièrement réécrite et enrichie de toute la tradition du drame baroque allemand, Hugo von Hofmannsthal (1874-1929) a conçu ce qui est devenu, avec Électre (1903) et L'Homme difficile (1921), sa pièce la plus jouée. Créée à Berlin en 1911 sous un chapiteau de cirque par le célèbre metteur en scène Max Reinhardt, représentée chaque été à Salzbourg depuis 1920 (date de la fondation du Festival par Hofmannsthal, Richard Strauss et Max Reinhardt) et régulièrement donnée un peu partout aujourd'hui en Autriche et en Allemagne, sur des parvis de cathédrales ou d'églises, tant par des troupes professionnelles que par des amateurs, c'est l'une des pièces où le poète autrichien a mis le plus de lui-même tout en parvenant à une totale maîtrise du temps et de l'espace de la représentation.
La nouvelle traduction de Daniel Hurstel, en prose, s'attache à suivre au plus près les nuances de ce chef-d'oeuvre. Elle a été conçue spécifiquement pour la scène et a remporté un grand succès lors de sa création en août 2007 avec Pierre Forest dans le rôle principal.
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