80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Sa mère fait tout comme il faut. Son père a des chaussettes en fil d'Écosse, l'été il met des espadrilles bleu marine. Guillemette, elle, rêve de sabots en bois cloutés, d'aller au Flunch le dimanche à midi, d'intégrer le corps des majorettes et de danser avec les Clodettes. À sept ans, sa petite valise à la main, elle annonce à ses parents : «Je vous quitte.»
Le jeune César a fugué de son camp de vacances.
Sa mère, qui a rejoint des amies à Cap-Ferret, se souvient alors de son enfance et de sa propre fugue.
Née dans une famille d'aristocrates, elle vouvoyait ses parents et rêvait d'une vie normale, comme par exemple celle de la fille du boucher.
Roman basé sur des souvenirs autobiographiques, ce court roman se lit d'une traite mais n'apporte pas grand chose au lecteur.
L'écriture est spontanée, c'est parfois amusant, mais décevant sur le fond.
Une lecture qui doit s'oublier bien vite, aussi vite qu'elle est lue.
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