Des débuts singuliers pour un roman qui ne l’est pas moins, découvrez l'avis de Sophie Gauthier
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Des débuts singuliers pour un roman qui ne l’est pas moins, découvrez l'avis de Sophie Gauthier
Quand 50 Explorateurs partent à la découverte des romans de cet automne...
Quel roman attendrissant
Isidore, 11 ans, est le cadet d’une fratrie de 6 enfants. Ses 5 aînés sont précoces.
Il observe et nous raconte une tranche de vie de cette famille atypique. Quel don d’observation et d’analyse.
Il est question de deuil, d’amitié, de difficulté à se faire sa place, de solitude et finalement d’amour fraternel.
Le style est nostalgique mais bourré d’ironie.
Les dialogues sont assez savoureux, un peu décalés et émouvants.
On sourit souvent tant le narrateur est perspicace et touchant.
J’ai vraiment passé un bon moment.
« Isidore et les autres » le dernier livre de Camille Bordas est attachant. On plonge dans l’univers d’une famille de six enfants dont cinq surdoués et le sixième et petit dernier, Isidore 12 ans, « normal ».
On apprend la mort du « père » comme il sera cité dans tout le roman. On lit la pudeur de sentiments avec la perte d’un parent. Le ton doux de Isidore le narrateur, la violence du fond.
La mort et la violence de la vie qui continue juste après comme si de rien n’était. Le manque . Chacun gardant son chagrin pour soi. J’aime beaucoup le titre du roman : Isidore est le seul à évoquer ses sentiments et essayer de faire parler les autres. Univers loufoque et poétique , belle découverte.
Roman un peu long sur la vie du plus jeune d'une fratrie de 6, tous surdoués.
Isidore est un garçon de onze ans, il a deux frères et trois soeurs, il est le dernier de la fratrie. On le trouve gentil et doué pour lire les sentiments des gens. Il passe son temps à brosser la tache du canapé de sorte qu'on la voit le moins possible, une activité qu'il pratique depuis la nuit des temps. Tous ses frères et soeurs ont sauté des classes et les trois aînés préparent des thèses, lui le seul truc pour lequel il est doué c'est l'apnée, il peut retenir sa respiration très longtemps.
« J'étais le dernier des six et je ne voulais pas qu'on m'attribue les bizarreries des autres. Je voulais être unique. Moi-même. Différent. En même temps je n'avais pas trop le choix (j'étais moins beau et moins intelligent que les autres). Mais je n'avais pas non plus d'idée précise de ce que je devais être. »
À chacun de ses anniversaires, il met à jour son testament. Il est chargé de rédiger la biographie de sa soeur Simone qui a en tête de changer le monde, les autres veulent tous être ermites et réfléchir. Son occupation favorite c'est de tenter de faire des fugues, sans succès, puisque personne ne s'aperçoit de son absence.
« J'aimais ma famille, je crois. Je n'en connaissais pas d'autre, c'est vrai et du coup, je ne pouvais pas trop comparer, mais il me semblait que c'étaient des gens bien, corrects. Même s'ils étaient souvent perdus dans leurs pensées. Chacun dans sa bulle. »
Tout le monde appelle son papa le père, il le voit très peu, il est toujours en déplacement. Isidore est persuadé que c'est un agent secret. Sa mère consacre sa vie à les rendre heureux et sociables.
J'ai beaucoup aimé ce récit où l'auteur nous raconte avec beaucoup de finesse et de sensibilité l'histoire d'un jeune garçon normal perdu au milieu d'une famille de surdoués. Il se pose toutes les questions que se pose un adolescent de son âge, mais cela semble si décalé dans cette famille hors norme et cela crée des situations très drôles. Isidore va être confronté au deuil, à la sexualité, à la solitude, à chaque fois il va réagir à sa façon pleine de candeur comme un petit prince perdu sur une planète qui n'est pas la sienne, toujours à l'écoute des autres, prêt à les réconforter.
Il s'interroge sur la mort, sur l'intelligence,
« T'as pas remarqué que Bérénice, Aurore et Léonard se sont tous inscrits en thèse parce qu'ils pensaient qu'ils allaient trouver des réponses à toutes leurs questions, mais qu'au lieu de ça, il leur faut de plus en plus temps pour répondre à des questions de plus en plus simples ? Ils divisent toutes les questions en une infinité de sous-questions maintenant, et les sous-questions sont tellement compliquées qu'ils finissent par revenir à la question originale. Ils sont devenus cinglés. »
Au détour des pages, le lecteur va croiser un boucher spécialiste des blagues salaces, la doyenne de l'humanité, « je suis tellement plus diminuée aujourd'hui que ne serait-ce que l'an dernier... cette dégradation physique... c'est comme une bande annonce pour la fin de vie, vous voyez ? Et le film a pas l'air terrible ! », et surtout la fragile Denise qui souffre d'anorexie et de dépression sévère.
L'écriture de Camille Bordas est délicate, pleine d'humour, chargé d'émotions. Laissez-vous tenter, partez à la rencontre d'Isidore, vous ne le regretterez pas.
Le roman se passe en France.
Isidore a onze ans et il est le petit dernier d’une fratrie de six enfants. Il est très différent de ses frères et soeurs.
Ce sont tous des surdoués et ils sont tous plongés dans leurs études jusqu’à ne sortir de leurs chambres seulement pour le repas. Il faut souligner que certains visent un doctorat.
Isidore est le plus « normal » et le plus sensible de tous : il n’a jamais sauté de classes et fait très attention aux remarques des autres, par exemple.
« J’étais persuadé que si je fuguais, ça ferait plaisir à ma mère. Elle se plaignait tout le temps qu’on n’était pas assez aventureux. Ça ne faisait ni chaud ni froid à mes frères et soeurs, qui étaient indifférents aux opinions d’autrui en règle générale, mais moi, je prenais ça à coeur. J’étais le dernier des six et je ne voulais pas qu’on m’attribue les bizarreries des autres. Je voulais être unique. Moi-même. Différent. En même temps, je n’avais pas trop le choix (j’étais moins beau et moins intelligent que les autres). Mais je n’avais pas non plus d’idée précise de ce que je devais être. Alors, je me disais que je pouvais au moins essayer d’être ce que ma mère voulait et donner sa chance à l’aventure. » (pages 14-15).
Ce qui fait aussi sa différence est qu’il est le seul capable d’exprimer des émotions et il n’a pas peur de faire appel à celles-ci.
La famille sait qu’Isidore sera toujours là pour eux. Ils peuvent compter sur lui pour écouter, réconforter, trouver des solutions…
Même s’il n’est pas un surdoué, il s’interroge sur de nombreux sujets. Il est très curieux de nature.
L’auteur, Camille Bordas, nous brosse le portrait avec humour et tendresse d’un Isidore passant de l’enfance à l’adolescence, dans une famille totalement atypique.
Cette famille est tellement décalée qu’elle en devient comique et attachante.
Isidore est doué pour la vie. Ses frères et soeurs sont, eux, doués pour les études.
Dans « Isidore et les autres », le héros cherche à comprendre les autres et le monde qui l’entoure.
« « Parfois, j’ai l’impression d’avoir élevé une portée de petits misanthropes intolérants. Toujours dans vos bouquins. Vous n’en levez le nez que pour critiquer le reste de l’humanité. » Elle s’est tournée vers moi, comme je m’y attendais, pour dire : « Sauf toi Dory (surnom d’Isidore), bien sûr. »
Simone n’aimait pas qu’on la traite d’intolérante. C’était son petit point faible et son paradoxe….
« Et qu’est-ce que tu voudrais que je fasse, maman ? Je veux bien que les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits, mais s’ils décident de grandir sans ouvrir un bouquin, rien ne m’oblige à subir leur conversation.
- Je ne veux pas que tu fasses quoi que ce soit, ma chérie. J’aimerais juste, de façon générale, que tu sois plus ouverte, et je dis ça pour ton bien, que tu sortes un peu de ta tanière, que tu rencontres des gens…
- Des gens ? a dit Simone, indignée. Mais j’en connais déjà plein ! » »
(page 51).
Camille Bordas est une Française vivant à Chicago. Elle a d’abord écrit son roman en anglais, salué notamment par Zadie Smith, l’auteur américaine « De la Beauté ». Puis, elle l’a traduit en français en modifiant le texte original.
Elle explore les relations au sein d’une famille « d’excentriques". Et on l’a découvre à travers les yeux d’Isidore, un adolescent, comme il en existe des millions dans le monde.
Et si le vrai génie de cette famille était tout simplement d’avoir un garçon comme les autres, Isidore, leur rappelant sans cesse ce qu’est vraiment la vie.
Isidore, 12 ans, est le petit dernier des Mazal. Il se sent un peu à l'écart car il est le seul à ne pas être surdoué. Il cherche sa place au sein de cette famille composée d'une grande fratrie : trois sœurs et deux frères presque tous thésards, très occupés par les études.
Tous se consacrent à leur travail de recherche en s'isolant et n'ont aucune vie sociale. Isidore est un enfant sensible et empathique, qui, s'il n'a pas un quotient intellectuel hors du commun, à une très forte intelligence émotionnelle. Il se sent inintéressant et transparent alors, il fugue régulièrement afin de voir si sa famille va s'en rendre compte et le rechercher.
A travers le regard d'Isidore, l'auteure aborde l’adolescence : la difficulté de trouver sa place tant au collège qu'au sein de sa famille, la construction identitaire mais aussi d'autres thèmes universels comme l'amour, le deuil, l'amitié, les relations familiales.
J'ai trouvé que l'auteure retranscrit avec beaucoup de justesse les interrogations et les préoccupations des adolescents. La plume de Camille Bordas est touchante, tendre et pleine d'humour. Elle réussit à rendre attachants et sympathiques ces personnages que l'on ne voudrait jamais quitter.
Ce livre nous montre qu'il n'y a pas qu'un seul type d'intelligence. Même si Isidore n'a pas les mêmes capacités que ses frères et sœurs, il a des dispositions sociales très importantes qui en font un garçon tolérant et empathique. Il va vite se rendre compte que si ses frères et sœurs ont fait de grandes études, ils ne sont pas pour autant plus heureux et ont beaucoup de mal à s'insérer socialement.
« Isidore et les autres » c'est un roman profondément humain qui met du baume au cœur !
Un grand merci aux éditions Inculte !
Comment survivre dans une drôle de famille, quand vous êtes le cadet d’une fratrie avec deux frères et trois sœurs plus intellos les uns que les autres ?
Comment survivre après le décès de votre père, que votre copine d’école est suicidaire et que vous êtes obligé, à 12 ans, de rédiger la biographie de votre sœur à peine plus âgée que vous ?
Toutes ces questions (et bien d’autres), Isidore se les pose et arrive, parfois, à y répondre. Il traverse ainsi la vie des autres avec une gentillesse et une fausse naïveté absolument attendrissantes
Alors Isidore va aller d’aventures en aventures, et découvrir, comme si de rien n’était, la vie, l’attachement, le sexe, la fugue comme un jeu d’aventure, l’alcool, les mensonges d’ados qui blessent, le deuil … tout ce qui fait le quotidien des « adultes », Isidore va l’expérimenter et surtout grandir.
Et même si, entouré de ses frères et sœurs intellectuels et obsessionnels, il semble être le moins brillant du groupe, il reste le plus armé pour affronter toutes ces expériences nouvelles.
Camille Bordas avec un attachement, une sensibilité et surtout une bienveillance rare en littérature livre ici le portrait singulier de ce jeune garçon, entre fin d’enfance et début d’adolescence.
Le style est mordant, vif, enlevé, et en choisissant la narration à la première personne, permet au lecteur d’être au plus près du personnage, d’être dans sa tête. J’ai particulièrement apprécié le ton parfois humoristique et détaché, une forme d’esprit qui fait sourire et rend la lecture très plaisante. Les remarques de Simone, la sœur d’Isidore avec laquelle il partage sa chambre, sont d’une acuité et d’une férocité hilarantes. Simone est LE personnage à ne surtout pas rater (digne du César du meilleur second rôle)
Par contre, le roman reste déséquilibré. En effet, passé l’effet de surprise du choix littéraire de la narration à la première personne, et une fois compris le mécanisme pour entrer dans la peau d’un pré-ado, l’histoire s’essouffle. J’avais l’impression de « tourner en rond », de lire au final, passé les 150 premières pages, toujours la même histoire sans que le récit n’avance vraiment. D’autant que certains passages sont trop longs, des personnages trop présents et d’autres pas assez. Pourquoi avoir donné tant d’importance au professeur d’allemand et pas assez aux relations qu’Isidore entretient avec ses frères ? (alors que la relation avec les sœurs est du coup bien travaillée) .
Le livre fait un peu plus de 400 pages et j’ai eu du mal à vraiment entrer dans le roman. A toujours hésiter entre drame et comédie, à vaciller entre psychologie et humour, entre remarque brillantes et banales, j’ai au fil des pages, perdu tout l’attrait, toute l’essence du roman.
Ce livre reste au final un agréable moment de lecture mais j’ai l’impression de déjà l’oublier, et ne garder que quelques bribes qui sont bien peu de chose, compte tenu de l’ampleur du sujet et des idées traitées.
Explorateur de la rentrée littéraire 2018 – Mon avis de la page 100
Isidore est un pré-ado de 12 ans, qui fait ce qu’il peut, coincé au milieu de ses frères et sœurs intellos et surdoués, dans une famille atypique.
Mais Isidore, a une amie dépressive, a envie de fuguer juste pour vivre une aventure, est peut-être amoureux et doit également écrire la biographie de sa sœur qui sait qu’elle deviendra célèbre.
Isidore, pense vouloir devenir prof d’allemand, aime regarder les séries policières avec ses frères et sœurs, et porte des bagues dentaires.
Isidore c’est tout ça et rien à la fois, parfois drôle, parfois sensible ou touchant, Camille Bordas dessine avec tendresse les contours d’un gamin et nous entraine à sa suite avec joie. 100 pages pour découvrir un univers et avoir envie d’aller plus loin.
Avis de la page 100, environ...
Dans la famille Mazal, il y le père, la mère et les six enfants : Simone, Bérénice, Léonard, Jérémy, Aurore et Isidore. Tous surdoués, tous très occupés par leurs activités personnelles. Tous sauf, Isidore, surnommé Dory ou Izzie, le petit dernier qui observe avec minutie chacun des membres de cette famille évoluer autour de lui.
Si Dory n'est pas un enfant précoce, ses remarques sur le monde qui l'entoure sont souvent très pertinentes et très drôles. Il analyse dans le détail - du haut de ses douze ans - les moindres faits, les plus petites remarques, les attitudes des uns et des autres.
Cet univers me plaît beaucoup et je me demande comment Isidore va réussir à trouver sa place dans cet environnement un brin étouffant!
Un roman original qui, pour le moment, me plaît beaucoup.
Avis final:
Dans la famille Mazal, il y le père, la mère et les six enfants : Simone, Bérénice, Léonard, Jérémy, Aurore et Isidore. Tous surdoués, tous très occupés par la rédaction d'une thèse (et quand la première est finie, on en attaque une seconde), tous complètement passionnés par la lecture (Aristote, Flaubert, Bourdieu...), l'écriture ou la musique, tous ayant forcément quelque chose à dire sur la vie, la mort, Dieu, le pourquoi du comment et le comment du pourquoi.
Tous sauf... Isidore, surnommé Dory ou Izzie, le petit dernier qui observe avec minutie chacun des membres de cette famille évoluer autour de lui.
Si Dory n'est pas un enfant précoce, ses remarques sur le monde qui l'entoure sont souvent très pertinentes et très drôles. Sa personnalité complexe intrigue, ses obsessions (par exemple une tache sur le canapé qu'il ne peut s'empêcher de frotter) déroutent, ses remarques saisissent par leur justesse et leur bon sens. C'est un garçon fin, sensible et qui analyse dans le détail - du haut de ses douze ans - les moindres faits et gestes des uns et des autres.
Dans cette famille, chacun semble ne voir que soi-même. Au contraire, Isidore est celui qui regarde (contrairement aux membres de la fratrie enfermés dans leur domaine ultra-spécialisé dont ils ont du mal à émerger et qui peine à les rendre heureux), qui observe, qui écoute et console si besoin est. Il est finalement le seul qui soit disponible aux autres. Sa patience, sa gentillesse, son empathie font de lui un être un peu à part et d'ailleurs, souvent, il se sent seul et un peu triste. Il essaiera à plusieurs reprises de fuguer, ce qui donnera lieu à des passages plutôt amusants mais au fond, on sent qu'il a du mal à s'épanouir vraiment dans cette famille un peu étouffante dans laquelle un drame familial obligera chacun des membres à revoir son comportement, sa place et sa fonction.
Ainsi Isidore semble-t-il se sentir comme un étranger dans cette famille désignée, je pense, par le terme « crowd » dans le titre initial : How to behave in a crowd. J'en profite pour préciser que le texte a d'abord été écrit en anglais puis traduit en français par l'auteur elle-même (elle vit à Chicago où elle est professeur d'université).
Autant vous le dire tout de suite, j'ai passé un excellent moment auprès des Mazal et je me suis attachée à Isidore et à ses commentaires désopilants de par leur justesse et la précision des termes employés pour les analyser.
La découverte de cette famille décrite dans son quotidien à travers les yeux du benjamin constitue le sujet même du roman. On quitte d'ailleurs très peu la maison dans laquelle chacun occupe sa chambre et vit coupé du reste de la communauté. Évidemment, les repas sont l'occasion de discussions bourrées de références littéraires ou cinématographiques, d'échanges cinglants ou de règlements de comptes pas piqués des vers. De la haine ? Non, pas du tout, car au fond, ils s'aiment tous les uns les autres, mais à leur manière.
Beaucoup de poésie, de tendresse et d'émotion dans ce roman d'apprentissage dont le personnage principal, très attaché à sa famille, sent confusément qu'il lui faudra un jour partir pour trouver un peu de liberté et une petite place bien à lui dans le monde - si ce n'est pas trop tard !
Un magnifique portrait de jeune garçon aux prises avec la découverte de la vie, de l'amour, de la sexualité… Un être qui n'est pas sans s'interroger finalement sur des questions existentielles : qu'est-ce que le bonheur ou comment être vrai dans un monde où les relations manquent parfois d'authenticité ? Du haut de son jeune âge, il se heurte à un réel assez violent qui est une vraie source de souffrance.
Camille Bordas est un auteur à suivre, assurément !
LIRE AU LIT http://lireaulit.blogspot.fr/
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Belle chronique et je pense que je vais acheter ce roman... quand j'aurai lu tous ceux qui sont déjà sur ma liste ! Comme dans les films, j'adore la mise en scène d'enfants.