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Dans ce recueil de nouvelles inédites, André Vers ressuscite malicieusement un Paris révolu, le petit Paris des années 50, celui des Halles, des meublés et du rosbif du dimanche. Un monde disparu qu'il évoquait déjà dans Martel en tête et Misère du matin.
L'époque où, après l'atelier, on se retrouvait au bistrot pour une belote avec les copains, pendant que les dames courraient à Uniprix avant de préparer une gibelotte. Le soir, dans la chambre qu'on appelait pas encore un studio, on gambergeait : un jour, on l'aurait, la deux-chevaux, et peut-être même le pavillon, avec les nains sur la pelouse. Mais avant de s'endormir, on rêvait surtout des jambes de la voisine du 2°, des seins de la boulangère, de la démarche de la serveuse. L'amour, c'était là la grande affaire.
Seize nouvelles qui fleurent bon les quartiers de Paris dans les années 60, les bistrots, les petits meublés….
Et puis aussi les places de mairie, les gares… dans les villes de province.
De vraies nouvelles qui ne frustrent pas, chacune étant une véritable histoire à part entière.
De la fraîcheur, de l’humour, de l’amour, des sentiments, une époque, ….
On retrouve avec bonheur l’esprit de Brassens ou de Prévert.
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