"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Une série de portraits à la rencontre de "Ndaku ya la vie est belle", collectif d'artistes congolais qui réemploient des déchets pour revisiter des habits traditionnels et dénoncer la pollution industrielle. Un mouvement artistique qui emprunte beaucoup à la démar che de l'Arte Povera, mouvement contestataire de la société de consommation à la fin des années 1960 en Italie.
Des photographies pour une prise de conscience salutaire sur l'accumulation inexorable des déchets qui dénaturent la planète. Sous l 'objectif de Stéphan Gladieu, on découvre des personnages fantasmagoriques recouverts de toutes sortes de détritus qui deviennent de splendides costumes aussi intrigants qu'étonnants ; des Homo Détritus, fabuleusement grotesques et terriblement évocateurs d'un mal moderne : celui de la vanité de la surconsommation.
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