"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'épouse d'un dirigeant d'une chaîne de stations-services est assassinée dans des conditions particulièrement cruelles, chez elle, alors qu'elle préparait paisiblement à dîner.
Pippo Randazzo, fils de la bonne bourgeoisie qui a fait le choix étrange de devenir inspecteur de police, découvre un morceau du crâne de la victime dans le métro de Palerme.
Le mari reçoit des coups de téléphone mystérieux et semble lié à une étrange femme d'affaires. Mais, à Palerme, la priorité reste pour la police la lutte contre la mafia et Pippo contemple avec une certaine envie les succès de son collègue Salvo Riccobono, héros des trois précédents romans de Di Cara.
On retrouve ici les dons de cet auteur, commissaire de police palermitain, pour rendre présente la vie quotidienne des flics siciliens, le parler populaire, les escapades savoureuses à la campagne. Avec, en plus, une touche d'étrangeté et de grotesque incarnée par l'immense enseigne lumineuse qu'un artiste a disposée dans la montagne palermitaine et qui semble comme une invite à mettre en scène sa vie : Hollywood.
J'ai bien aimé le scénario mais pas du tout le style de l'auteur. Déçu !
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