"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« SANDEMAN plus beau que jamais.
Noir et gigantesque.
Christ d'ébène aux bras repliés.
En deuil de tous les cimetières du monde.
En deuil de ses milliards d'oncles.
Avec bras de bois blancs. Repliés. Croisés.
Sur des résurrections impossibles ».
Le jeune ingénieur Sandeman, en deuil de son oncle milliardaire, espionne jour après jour sur son télélecteur la vie de Nadia, une star de cinéma qui, pour avoir dénoncé la disparition de son chien, finit bonniche... et persécutée.
Mais Nadia n'a-t-elle pas tué son propre toutou pour s'assurer succès et notoriété ?
Ce texte consacré au deuil et à l'inconscient s'en prend à la pensée minutée et à la parole débridée de nos sociétés. C'est aussi un hommage à l'art du roman.
Hélène Bessette détourne la série B comme elle a détourné le genre policier dans Vingt minutes de silence. C'est Moravagine à l'époque de la téléréalité.
« Il ne s'est rien passé (et c'est irréparable) ».
Dernière phrase, testamentaire, du livre.
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