"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Quand Hervé Guibert meurt le 27 décembre 1991, à l'âge de trente-six ans, il est déjà une légende.
Sait-on qui se cache sous l'homme au chapeau rouge ? Sous le masque de l'enfant terrible qui met en scène les plus inavouables de ses fantasmes ? Est-il seulement un autobiographie qui utilise sans complaisance ses amis et leurs secrets, le sida comme la peur de mourir ?
De la Rochelle, où il fut élevé, à l'Ile d'Elbe, de l'exotisme des voyages à la fièvre des années Palace, François Buot reconstitue un destin. On découvre Hervé Guibert, journaliste, photographe, voyageur, séducteur, homme marié, ami de Michel Foucault, de Roland Barthes, de Zouc, d'Isabelle Adjani, d'Henri Cartier Bresson, scénariste de Patrice Chéreau. On le suit, au plus près, des premiers textes érotiques comme Les Chiens, jusqu'aux livres pudiques et impudiques, impitoyables de lucidité, où il s'expose en pleine lumière.
La première biographie d'Hervé Guibert en révèle toutes les contradictions. Son envie de vivre. Sa course à la mort. Sa passion de la vérité.
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