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Le « poème avant la mort » est une tradition littéraire présente dans différentes cultures extrême-orientales, en particulier en Chine, en Corée et au Japon. C'est autour de la poésie
japonaise de type haïku, représentative de cette tradition et de ce rituel, que cet ouvrage se développe.
Ce haïku du seuil de la mort, empli de détachement, de gravité, d'apaisement des passions et des attachements humains, exprime le deuil de soi avec une extrême économie de sentiments.
Il adresse un dernier message aux vivants, destinataires ultimes, et constitue la suprême expérience relationnelle. L'humour y est parfois présent ; parfois une émotion voilée y transparaît, mais sous une forme extrêmement retenue, allusive ou métaphorique.
L'ouvrage explore les différents registres dans lesquels s'expriment ces poèmes et les images qu'ils utilisent. Il constitue une véritable anthologie, citant plus de 200 de ces poèmes, d'auteurs pour la plupart japonais.
Haïkus du seuil de la mort transmet, au travers de ces poèmes et de la présentation qu'en fait l'auteur, une grande sérénité qui touchera un public plus large que les seuls adeptes des haïkus.
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