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Frequence theatre plus - t63 - petit dejeuner compris

Couverture du livre « Frequence theatre plus - t63 - petit dejeuner compris » de Christine Reverho aux éditions La Traverse
Résumé:

(de 4 à 15 hommes et de 4 à 13 femmes) Cette comédie à multiples facettes entre par infraction dans la chambre d'un hôtel modeste et vieillot pour y observer quelques-uns des voyageurs qui s'y sont arrêtés, qui y ont dormi ou pas. Ces instantanés de vies, ces photographies volées à des anonymes... Voir plus

(de 4 à 15 hommes et de 4 à 13 femmes) Cette comédie à multiples facettes entre par infraction dans la chambre d'un hôtel modeste et vieillot pour y observer quelques-uns des voyageurs qui s'y sont arrêtés, qui y ont dormi ou pas. Ces instantanés de vies, ces photographies volées à des anonymes qui nous ressemblent, présentent une galerie de personnages si banals qu'ils en deviennent pittoresques. Chacun réagit suivant les circonstances qui l'ont amené dans cette chambre : un coin du voile se lève sur leurs caractères, leurs petits défauts ou leurs légères inquiétudes. Les vies prennent tout leur sens, surveillées par une jeune femme de chambre prénommée Garance. Ne serait-ce pas un subtil hommage à Jacques Prévert et à Marcel Carné ? Tous deux, comme Christine Reverho, aimaient les gens simples, ceux qu'on côtoie tous les jours. Ils les ont imprimés sur pellicule, Christine les met en lumière sur un plateau de théâtre où l'ampoule d'une lampe de chevet vacille au gré des émotions.
Quel bonheur pour les comédiens qui seront chargés de leur donner chair et âme !
(de 4 à 15 hommes et de 4 à 13 femmes) Cette comédie à multiples facettes entre par infraction dans la chambre d'un hôtel modeste et vieillot pour y observer quelques-uns des voyageurs qui s'y sont arrêtés, qui y ont dormi ou pas. Ces instantanés de vies, ces photographies volées à des anonymes qui nous ressemblent, présentent une galerie de personnages si banals qu'ils en deviennent pittoresques. Chacun réagit suivant les circonstances qui l'ont amené dans cette chambre : un coin du voile se lève sur leurs caractères, leurs petits défauts ou leurs légères inquiétudes. Les vies prennent tout leur sens, surveillées par une jeune femme de chambre prénommée Garance. Ne serait-ce pas un subtil hommage à Jacques Prévert et à Marcel Carné ? Tous deux, comme Christine Reverho, aimaient les gens simples, ceux qu'on côtoie tous les jours. Ils les ont imprimés sur pellicule, Christine les met en lumière sur un plateau de théâtre où l'ampoule d'une lampe de chevet vacille au gré des émotions.
Quel bonheur pour les comédiens qui seront chargés de leur donner chair et âme !

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