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" Je voudrais évoquer le sujet de la fin de vie en l'abordant sous la lumière de la fraternité. Cela nous engage à prendre soin de la personne la plus vulnérable. La vulnérabilité est comme l'écrin qui manifeste le mieux la perle précieuse qu'est la dignité humaine. En effet, quand l'être humain va bien et peut mettre en oeuvre tous ses talents et toutes ses qualités, allant de performances en performances, on risque de se tromper en mesurant la dignité humaine à l'aune de ces talents et qualités, voire à confondre dignité et performance accomplie. Par contre, quand il n'y a plus la possibilité d'exprimer ces talents et ces qualités et qu'il n'y a plus que la vulnérabilité qui s'offre à nos regards, alors nous sommes invités à voir la dignité du seul fait que cette personne humaine appartient à l'humanité. ".
Dans le contexte des débats sur la fin de vie :
Le jeudi 2 février, la mission parlementaire d'évaluation de la loi Claeys-Leonetti sur la fin de vie a reçu des représentants des cultes monothéistes à l'Assemblée. L'archevêque de Rennes Mgr d'Ornellas, responsable du groupe de travail bioéthique à la CEF était présent, et a insisté sur la nécessité de regarder cette question à la lumière de la fraternité.
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