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Depuis le mouvement #MeToo, on a beaucoup parlé des violences faites aux femmes commises majoritairement par des hommes. On ne s'appesantit pour autant pas beaucoup sur le fait que ces hommes sont aussi souvent des pères.
Dans cet essai nuancé et intrépide, Katherine Angel interroge les limites de l'amour et du pouvoir paternel sur les filles dans notre culture, et la manière dont le mélange d'affection et de haine que nous ressentons à l'égard de nos pères - et des figures paternelles patriarcales - pourrait être transformé en une relation qui soit génératrice plutôt que destructrice.
Dans cet essai Katherine Angel parle des relations fille/père en faisant référence à de nombreuses écrits de tout temps qui témoignent de cette relation parfois à demi mots.
C'est un condensé de morceaux de témoignages essentiellement extrait de la littaraure qui nous est livrés ici avec quelques explications. On en déduit que le pouvoir excercé par les pères sur leur fille existe depuis toujours, que bon nombre de pères sont en admiration devant leur fille et parfois ne savent pas bien géré cette admiration.
Pour ce qui est de piste pour faire évoluter cette relation vers quelques choses d'équilibré, je cherche encore.
J'ai été déçu par cet essai qui ne fait qu'un constat sans de réels témoignage vivants. Dommage.
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