80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Cet essai, consacré à la littérature de l'imaginaire, s'interroge sur la valeur subversive d'un corpus dont on n'aurait a priori pas attendu la moindre velléité de subversion : la littérature contemporaine populaire de très grande diffusion, anglo-saxonne et française. Il montre comment, soumise au choc du backlash (revanche antiféministe des années 80), la fiction grand public choisit une voie souterraine de résistance et garde enfouie la mémoire d'une féminité triomphante qui devient son sujet principal et « occulte ». Ce travail engage donc une réflexion sur le caractère paradoxal des best-sellers : la littérature la plus commerciale, la plus « facile », la plus ludique serait-elle celle où s'expriment le mieux les aspirations politiques et théologiques des sociétés occidentales d'aujourd'hui ?
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