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Stockton, Californie, à la fin des années 50. Billy Tully aurait-il percé dans la boxe, si une défaite lors d'un combat pipé n'avait tout fait dérailler ? Il se laisse aller, perd sa femme, puis sombre pour de bon. Seul, logé dans un hôtel miteux, il survit en se vendant comme journalier. Le reste du temps il boit, beaucoup. Un soir la conversation s'engage avec sa voisine de comptoir, Oma, une forte personnalité et une femme perdue...
Au même moment, le jeune et volontaire Ernie Munger, quand il ne courtise pas son amie Faye, commence à s'entraîner dur à la salle de boxe en vue de son premier combat. Réussira-t-il là où Billy Tully a échoué ? Ou son histoire répétera-t-elle, par l'enchaînement des mêmes causes et conséquences, celle de Tully ?
Encensé par Joyce Carol Oates ou Joan Didion, Fat City est l'un des romans américains les plus beaux et les plus noirs du dernier demi-siècle - et l'unique livre de son auteur.
Leonard Gardner, lui-même ancien boxeur, l'a publié en 1969, à trente-six ans. Lauréat du National Book Award, adapté au cinéma par John Huston, Fat City a été un succès. Quand on lui demande pourquoi il n'a plus rien écrit après Fat City, Leonard Gardner répond :
"C'est la seule histoire que j'avais à raconter."
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