80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
S'intéresser à la pensée et à la fabrique de la phrase, comme étant la veine de l'écriture de Woolf, c'est tenter de rendre compte de ce qui ne se laissera jamais saisir comme objet, mais ne cessera de se donner à entendre dans son rapport avec l'impossible. En son oeuvre, la phrase apparait à la fois comme plus d'une et à nulle autre pareille. En cela, l'ouvrage se démarque des diverses approches historicisantes qui d'une manière ou d'une autre réifient l'écriture de Woolf. Il invite à se mettre à l'écoute subtile des multiples frayages de la phrase, de sa réinvention incalculable, des timbres polyphoniques qui la transportent, à travers des textes de genres différents dont elle brouille toute frontière de son régime agénérique. Il choisit par ailleurs d'éclairer un corpus peut-être moins connu de la fiction woolfienne. Il s'adresse aux lecteurs de l'oeuvre woolfienne chez qui cette passion de la lettre, de la littérature a pour nom « phrase ».
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année