"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Qu'y a-t-il de commun entre L'Iliade, La Henriade de Voltaire, La Main coupe´e de Blaise Cendrars et Le Voyage au bout de la nuit de Louis Ferdinand Ce´line ? La guerre. La guerre on y va, puis au retour on compose un poe`me plus ou moins he´roi¨que, en vers ou en prose, qualifie´ « e´pope´e ». Il arrive toutefois que la guerre soit tellement destructrice que plus aucune litte´- rature e´pique n'est acceptable a` son sujet.
Le mode`le est alors conge´die´. C'est ce qui s'est produit au XXe sie`cle avec les deux guerres mondiales. Depuis, personne n'e´voque plus l'e´pope´e, en poe´sie.
- Pourquoi, dans ce cas, ne pas ope´rer le genre de son rapport consubstantiel a` la guerre ? C'est ce que Jacques Darras propose. En s'engageant avec humour sur la dure´e d'une vie entie`re, contre notre seul ve´ritable ennemi commun, le temps, la poe´sie redonne sa le´gitimite´ de facto a` l'e´pope´e. Tous e´piques de´sormais ?
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