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Elia est une Passeuse d'Âmes, un être sans émotions. Elle doit exécuter ceux qui sont devenus des poids pour la société : vieux, malades, opposants... Mais un jour elle ne parvient plus à obéir aux ordres et s'enfuit dans la région la plus déshéritée du pays, là où les Passeurs d'Âmes sont considérés comme les pires ennemis. Au plus profond d'immenses mines à ciel ouvert, Elia découvrira, telle une pépite, une destinée qui la dépasse.
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Imaginez un monde nouveau où tout est réorganisé, hiérarchisé, où tout le monde tient une place sans l'avoir choisie mais basée sur des facteurs génétiques... Un monde dans lequel les "anomalies" sont éliminées à leur source, l'euthanasie légalisée et acte quotidien, un monde dans lequel le collectif prime sur l'individu.
Vous l'aurez compris, ce roman de Marie Vareille est une dystopie se déroulant dans un futur post-apocalyptique. On y suit les aventures d'une jeune "anomalie" au sens tasmanien, Elia, qui a pour rôle d'être passeuse d'âmes, autrement dit qui doit euthanasier ses semblables. Elle semble très à l'aise dans ce monde et accomplit la tâche qui lui incombe sans poser de question jusqu'à ce qu'un nosoba, la caste la plus "vile" du royaume, en fuite lui demande de l'épargner afin de sauver son frère. Cet événement va en effet faire basculer le destin d'Elia. Cette jeune fille de bonne famille, à la vie si tranquille, va se retrouver du jour au lendemain dans la position de fugitive recherchée pour trahison.
Va-t-elle réussir à survivre dans ce royaume où règnent les inégalités et où l'empathie ne semble plus de mise? Sera-t-elle arrêtée et devra-t-elle payer pour avoir épargné une vie?
Pour le savoir il faudra vous laisser entraîner avec elle dans Tasma et découvrir ce que peut devenir un monde hiérarchisé et composé de castes imperméables où la naissance d'un individu lui prédestinera une vie de labeur ou une vie de château.
Personnellement, j'ai beaucoup aimé le personnage principal, son tempérament de feu et ses valeurs familiales. J'ai trouvé également que le rythme du récit était haletant et l'intrigue prenante.
Je recommande donc cette lecture à tous les amateurs de dystopies à la recherche de sensations fortes.
Pour ceux qui aiment les univers inventés de toute pièce, qui aiment suivre un personnage qui va se révéler déterminant à une prochaine révolution, procurez-vous ce livre, il est fait pour vous.
http://magrandelibrairie.over-blog.com/2018/01/elia-la-passeuse-d-ames-tome-1.html
l'un de mes livre préférer des aventure fabuleux et merveille dont une histoire bien construis
je le conseil vivement
Je tiens tout d'abord à remercier le site lecteurs.com qui grâce à leur opération Explo'books m'ont permis de découvrir ce roman. Pour tout vous dire, ce roman me tentait depuis un bon bout de temps. J'ai déjà lu les deux premiers romans de Marie Vareille (Je peux très bien me passer de toi et Ma vie, mon ex et autres calamités) que j'avais adoré. Retrouvant cette année Marie Vareille dans un style totalement différent et aimant particulièrement les dystopies, forcément je ne pouvais pas passer à côté de ce roman.
Ce n'est pas sans une petite appréhension que j'ai commencé le roman puisque je connaissais la plume de Marie seulement dans des romans de Chick-Lit et ici on se trouve dans un roman young adult, totalement différent. Et ce roman m'effrayait, je n'osais pas le commencer.
Nous nous retrouvons ici dans une base dystopique classique, puisque nous avons un système de castes (nosobas et kornésiens) où les plus pauvres sont oppressés par les plus riches. Les premiers font partis de l'élite, tandis que les second sont évités comme la peste. Elia, jeune fille de 16 ans fait partie de la première catégorie. Elle est ce que l'on appelle une Passeuse d'âmes. Elle est chargée de tuer les personnes jugées désormais inutiles pour la communauté, pour le compte du Palatium. Mais à partir du jour où elle prend pitié d'un jeune Nosoba, tout change du tout au tout pour elle. Elle doit quitter les siens pour rejoindre une des zones les plus pauvres.
Je ressort de cette lecture plus que surprise puisqu'au final, cette lecture fut très bonne pour bonne. La dystopie est parfaitement réussie. L'univers que nous pose Marie Vareille est extrêmement riche et original. L'histoire n'est pas fade et sait être originale et différente des autres dystopies que l'on a pu voir jusqu'à présent.
J'ai adoré retrouver la plume de Marie Vareille toujours aussi agréable. Elle a su donner du rythme pour nous entraîner dans l'histoire au fil des pages et rend captivante l'intrigue. Une fois lancée j'ai eu du mal à décrocher.
A cela on ajoute des personnages fortement attachants, et extrêmement bien travaillés. Et qu'est-ce que c'est appréciable d'avoir des personnages si complets. Il est d'ailleurs difficile de les quitter à la fin du roman. On a qu'une hâte, les retrouver !
On a là un combo parfait pour un premier tome réussi qui promet une suite tout aussi addictive !
Dans cet univers les Kornésiens et les Nosoba s’opposent. Les premiers font partis de l’élite pendant que les seconds sont les êtres les plus inférieurs de la caste. De ce fait ils ont été réduits en esclavage et sont évités par le reste des castes qui les considèrent impures.
Elia n’est pas seulement une Kornésienne, elle a été choisie pour être une passeuse d’âmes. Son rôle est de tuer les âmes qui n’ont plus aucune utilité pour la Communauté. En général les personnes qui vont devoir mourir ne montrent pas de résistance car cet acte est fait pour préserver l’harmonie.
Un jour la routine d’Elia va être chamboulée par un jeune Nosoba. Ce dernier lui a été amené pour qu’elle le tue. Sa faute ? Vol de médicaments. Elia, contre toutes attentes va enfreindre le règlement et le laisser s’échapper. C’est là que sa vie prendra un nouveau tournant. Elle sera accusée de trahison et devra à son tour prendre la fuite.
Je connaissais l’auteure Marie Vareille pour ses romans chick-lit qui sont dans ma wishlit depuis un bon moment et j’ai été agréablement surprise quand j’ai vu que l’auteure se lançait dans le young adult. La couverture m’a tout de suite donné envie de le découvrir et je remercie Pocket Jeunesse et Les Lecteurs.com de m’avoir donné cette opportunité.
Pour faire simple j’ai adoré ce roman ! « Elia la passeuse d’âmes » reprend tous les codes d’une bonne dystopie dont on n’arrive pas à se séparer. L’univers est original et très bien construit. En plus de son imagination, Marie Vareille a une jolie plume qui ne m’a que conforter dans ma décision à me procurer ses autres romans.
Le personnage d’Elia est très intéressant. On ne peut que l’apprécier quand on voit toutes les dures épreuves qu’elle va devoir surmonter et son évolution tout le long du livre. Elle prend conscience petit à petit que le monde dans lequel elle est, est loin d’être parfait et fait souvent preuve d’une grande injustice dont elle sera elle-même une victime. Les autres personnages sont tous très attachants et j’ai hâte de les retrouver dans le second tome ! J’étais tellement imprégnée de l’histoire que je n’avais absolument aucune envie de quitter cet univers.
J’ai refermé ce livre avec un seul regret, celui de ne pas avoir la suite entre mes mains et de ne pas savoir combien de temps encore je vais devoir être patiente.
Pour tous les amoureux des dystopies, sautez le pas, ce livre est fait pour vous !
Je souhaite tout d’abord remercier le site lecteurs.com qui m’a permis de lire ce livre grâce à l’opération Explo’Book.
J'ai passé un très bon moment de lecture extrêmement addictif, et pourtant, ce n’était pas gagné !
En en effet, les 50 premières pages ressemblent à peu près à n'importe qu'elle autre dystopie pour ado. À savoir, un système de castes, les riches qui oppressent les pauvres, une héroïne qui est différente du commun des mortels. Autant dire que quand j'ai vu ça j'ai levé les yeux aux ciels.
Bon, on ne va pas se mentir, l'originalité n’apparaît pas soudainement dans les pages suivantes. Ce qui m'a surprise c'est à quel point on est tout de même embarqué par cette histoire. L'intrigue est vraiment prenante, c'est très addictif. Les événements s’enchaînent à une vitesse folle. On ne peut plus lâcher le livre, on veut savoir ce qu'il se passe ensuite. Clairement, je l'ai lu d'une traite.
Le personnage d'Elia dont le côté "destinée à faire de grande chose" me gêne un peu m'est tout de même devenu sympathique. Tout les personnages de ce roman sont attachants. D’ailleurs, gros point positif, il n'y a pas de romance ! Certains liens se créent entre les personnages mais il n'y a pas de coup de foudre au premier regard et c'est vraiment appréciable. Il y aura peut être une romance dans le deuxième tome, mais ce n'est pas grave, car l'auteur laisse ses personnages se connaître avant de les faire tomber amoureux.
Le message que transmet le livre, il faut se battre pour l’égalité, la liberté et le libre accès à la culture est lui aussi déjà vu, mais il est toujours important à marteler.
Bref une lecture très agréable. J'ai hâte de lire la suite.
Nous voilà embarqués dans une dystopie absolument bien travaillée! Elia vit dans un monde où l'individualisme est banni, tout doit être fait pour le bien de la communauté. Une communauté divisée en 3 castes : Les kornésiens qui sont les plus hauts placés, les Askaris qui s'occupent du commerce et enfin les Nosobas qui sont relégués à un rôle d'esclave, considérés comme des sous-hommes.
Elia est une jeune fille de 16 ans, elle ne pose pas de questions et se contente d'obéir aux ordres. Elle vit dans un confort appréciable puisqu'elle est Kornésienne. Elle est une passeuse d'âmes, censé ne ressentir aucune émotion, son rôle est d'euthanasier les êtres devenus inutiles à la communauté (les personnes âgées, malades ou souhaitant mourir, délinquants...). Le problème, c'est qu'elle ressent des émotions, chose anormale. Autre différence: sa couleur de cheveux, la pauvre doit en permanence se couvrir la tête et ne pas laisser dépasser une seule mèche!
Tout bascule quand elle est chargé de mettre fin à la vie d'un jeune Nosoba. Roué de coup, ce dernier est d'abord inconscient. Il fini par se réveiller et supplie Elia de lui laisser la vie sauve. Sans trop savoir pourquoi, elle accepte.
Cet acte de trahison ne passe pas inaperçue et Elia est contrainte de fuir si elle ne veut pas finir exécuté. Elle abandonne tout ce qu'elle connait, sa famille, sa vie pour atterrir dans les mines du nord, le lieu le plus pauvre de son monde. Elle va devoir se faire passer pour une Nosoba et travailler, gagner à peine de quoi survivre.
Ce roman est formidable, cette dystopie nous rappelle notre société actuelle : il y a des gens privilégiés, d'autres qui sont pauvres, exploités, maltraités et qui vivent dans des conditions épouvantables.
Cependant, Marie Vareille nous envoi un message de tolérance et d'amitié. C'est dans la plus grande des pauvreté qu'Elia va trouver la plus grande des richesse : l'amitié.
Elle rencontre Tim et Solstan, deux garçons adorables qui vont avoir un grand rôle dans ce livre.
Ce premier tome est extrêmement prometteur, l'univers proposé par l'auteur est riche et bien exploité. Aucune longueur dans le récit, beaucoup d'action et de moments forts. Entre les chapitres sont intercalé des extraits d'ouvrages qui ont façonné cette nouvelle société, nous apprenons alors quelques informations très utiles et souvent choquante d'ailleurs.
L'auteure a su ménager le suspense tout en ne laissant aucun temps-mort!
En bref, Marie Vareille nous offre le début d'une saga très prometteuse, une dystopie à découvrir absolument et qui saura séduire un large publique. Les personnages sont attachants, Elia est une héroïne en constante évolution et cela nous donne envie de connaitre la suite!
J'ai hâte de lire le second tome, de savoir ce qu'il advient des différents personnages. Merci beaucoup à Marie pour ce beau moment de lecture!
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