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Introduit par un lettre à des amis qui brise le silence dont s'est entouré l'auteur sur l'enfer qu'il a vécu avec l'alcool, ce livre témoigne, sous la forme d'un vrai-faux journal, qu'il est possible de s'en sortir et de se reconstruire. Il témoigne de la déchéance, des humiliations, des douleurs du manque, générés par cette drogue dure qu'est l'alcool pour certains.
Ce livre, qui fait des détours par l'enfance de l'auteur et se termine par des réponses concrètes sur l'alcoolisme, n'oublie pas le désarroi de l'entourage qui est souvent désemparé face à cette maladie.
C'est, au dela de la violence des mots éructés par ce forçat de la sensibilité qu'est l'auteur, un message d'espoir pour tous ceux qui vivent la maladie alcoolique quotidiennement.
Voici ce qu'en dit Claude Confortès, dramaturge de renommée internationale qui a porté sur scène un spectacle tiré du texte d'Alain Callès :
" Cher Lecteur, chère Lectrice...Attention!...
Ce livre est dangereux, plein de risques et périls.
L'alcoolique errant y est dépeint comme un forcené de la sensibilité.
Que devient cet être d'ombre, hurlant de délire et de souffrance quand il est guéri?
Mystère!...
Un homme solitaire, vibrant de révolte, éructant les mots marginaux de textes violents où le feu qui l'illumine brûle les sentiments.
Poète de la déchirure, il sublime la musique des consonnes, des voyelles, des phonèmes, des diphtongues. "
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