80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Constitué en son coeur de pages fantômes, de collages aux vernis sur papiers noirs, de miroirs noirs qui reposent le regard, le livre de Tatiana Trouvé déploie ainsi des apparitions mentales composées de dessins, de fragments hétéroclites de muselières, de niches, de sièges de batteurs, de matériel d'escalade, de grillage et de prothèses humaines ou cohabitent des matières précises comme le cuir, le velours, le métal.
La construction du corps autonome du livre poursuit la quête fantastique d'un mouvement psychique qui se désagrège au rythme d'une fable de l'auteur autrichien Arno Geiger et d'un dialogue de Tatiana Trouvé avec Hans-Ulrich Obrist.
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