L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Les occurrences du terme « plaisir » ou les évocations de sensations ou d'émotions agréables abondent dans À la recherche du temps perdu. Son héros-narrateur s'en dit même « passionné ». Proust n'établit toutefois aucune échelle de valeur entre les sources de plaisir : un bon repas ou bien la contemplation d'un tableau d'Elstir peuvent provoquer le même contentement, pourvu que l'émotion éprouvée alimente la rêverie ou prolonge le bien-être. Les plaisirs concernent tous les personnages. Dans À la Recherche du temps perdu, roman profondément humain, ce fil conducteur concerne toutes les couches sociales : « les humbles plaisirs des servantes » valent tout autant que les joies du grand monde. Ce nouvel angle d'approche de l'oeuvre par une typologie des plaisirs proustiens, recoupe les grands thèmes du roman (art, amour, sexualité, snobisme, mondanité...), proposée ici, sous forme de dictionnaire qui les répertorie et les classe en domaines distincts.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique