"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Après avoir magistralement montré la lâcheté des hommes (Connard, 2005), la cruauté des femmes (Morue, 2006 réédité en Archipoche sous le titre Connard 2, 2007), Arièle Butaux ausculte les ravages de la cinquantaine chez ces messieurs. Même principe narratif : les trois amies mises en scène dans les deux premiers volets se retrouvent à Venise, et se confient les hauts et les bas de leur vie amoureuse au fil de nouvelles où l'ironie, le sourire se disputent à l'émotion.
Au Garda Palace, Sergio rencontre un homme mystérieux venu lui emprunter son bateau pour rendre secrètement visite à la fille de la Signora Giardelli, Eleonora...
Florence et Nicolas : un couple parfait, celui qui ne se séparera jamais. Avec leur deux fils, ils forment la famille idéale. C'est ce que tout le monde pense, surtout Florence qui reste aveugle lorsque son mari recommence à boire, lui ment et disparaît régulièrement, Jusqu'au jour où elle surprend un échange de regard entre son mari et une inconnue qui lui laisse entrevoir que Nicolas pourrait bien lui cacher quelque chose.
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