Ronald Dunaud est un écrivain connu, très connu même. Un après-midi, alors qu'il attend un rendez-vous d'affaires dans un grand hôtel parisien, il aperçoit au bar sa propre femme. Un individu étranger lui remet une mallette... Et le mystère s'épaissit. Qui se promène cet après-midi-là avec un chapeau haut de forme bleu? Qui est ce flic ventripotent spécialiste de la lutte antiterroriste? Quelle est cette bohémienne dans le métro, détentrice d'un secret redoutable? Quel est cet étranger marchand de valises dont le magasin a deux entrées? Surtout, surtout, ne vous précipitez pas au chapitre final pour le savoir... Déclic est un suspense... A vous, si vous le pouvez, de trouver la clef de l'énigme.
Ce cher Ronald qui est écrivain n'a aucune idée pour son prochain roman, on a vraiment de la compassion pour lui, il est au bord du désespoir. Du jour au lendemain, Ronald est dans la tourmente et mène son enquête sur d'étranges choses qui se passent autour de lui... au fur et à mesure des pages, on est dans le suspens total, on en a des frissons. Mais quel est le dénouement de son enquête? Je dois vous dire que lorsque j'ai su ce fameux dénouement j'en ai ri. La fin est époustouflante.
Je n'ai réussi à lire que quelques pages de ce livre. Une trentaine.J'ai trouvé cela tellement convenu et "déjà lu" que j'ai refermé. Pas le courage de continuer.
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