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Très fervent catholique, Georges de La Tour a mis son talent, son pinceau et son atelier au service de la Réforme catholique, emplissant ses tableaux de saints et martyrs, symboles du renouveau de l'Eglise voulu par le concile de Trente. Toutes ces oeuvres sont communément réparties en diurnes dans la première partie de sa vie artistique et nocturnes dans la dernière période. La simplification est arbitraire, car il peignit, sa vie durant, tant en lumière extérieure directe qu'à la flamme d'une bougie. Mais on peut avancer, pour une lecture plus aisée, qu'ayant assimilé la manière du Caravage, il a peint, à partir de 1620, des scènes de vie quotidienne et des sujets religieux en flux de lumière provenant d'une source extérieure. A la manière des émules des peintres italiens et nordiques, cette lumière diurne provient soit de la gauche, à la manière de Rubens, soit de face.
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