Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Pont-Aven a séduit les artistes bien avant que Gauguin y vienne. Dès 1866, une petite colonie de peintres américains s'y établit. Tout les enchante : la lumière incomparable de la Bretagne, lespaysages et les moulins pittoresques, les sentiers du Bois d'Amour, le soleil sur la rivière, le spectacle du port animé par les bateaux de pêche et, bien sûr, le magnifique costume des femmes. Ils dessinent, ils peignent, se font adopter par la population.
Parmi eux, on remarque Mary Ann Flynn, une jeune Américaine adepte du fusain. Bientôt, elle est rejointe par sa cousine anglaise, Victoria Greylord, qui préfère l'aquarelle. Ensemble, elles achètent un terrain au bord de la rivière et s'y font construire une maison qui accueillera leurs amis peintres, plus ou moins argentés.
Ravissantes et libres, les deux jeunes femmes mettent en émoi plus d'un homme, artiste, aristocrate ou pêcheur. Mais l'une et l'autre cachent une blessure. Auraient-elles choisi l'art contre l'amour ?
À travers la peinture d'une amitié sans faille entre deux femmes à l'esprit libre, Colette Vlérick fait revivre une page colorée mais souvent oubliée de la longue histoire entre Pont-Aven et les artistes.
C'est à la faveur du conseil d'une amie que je découvre Colette Vlérick qui n'est pas une inconnue en Bretagne, et plus particulièrement dans le Finistère nord où elle vit et elle écrit; elle a déjà à son actif une vingtaine de romans dont la toile de fond est la Bretagne.
Habitant dans cette région, tout près d'où réside Colette Vlérick et étant tombée amoureuse de cette région, je ne pouvais que suivre le conseil de mon amie en entamant son dernier roman.
L'auteur campe l'histoire de deux cousines, l'une américaine et l'autre anglaise, à Pont-Aven, celui d'avant Gauguin; nous sommes dans les années 1860 et ce bourg est le point de rencontre de nombreux artistes (peintres, sculpteurs, musiciens) américains. On découvre les paysages bretons, le commerce de la sardine à Concarneau, la vie commerciale trépidante, les us et coutumes.
C'est le seul intérêt que j'ai trouvé à cette gentillette histoire. Le style est plat et convenu. Je me suis ennuyée et j'ai dû me forcer pour aller jusqu'au bout par respect pour l'auteur; je ne pousserai donc pas plus loin la découverte de cet auteur du terroir.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !