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Dans cet ouvrage, l'auteur interroge le secteur culturel sur les incohérences liées au fait de se soumettre aux lois du marché au risque de devenir « épiciers culturels ».
Il alerte sur les écueils de la démocratisation de la culture et propose d'autres pistes de réflexion et de perspective politique sur la « volonté collective de déterminer les bonnes attitudes culturelles nécessaires pour construire un avenir commun à l'humanité durable ».
Avec l'approfondissement de la crise économique, la « culture » a changé de rôle : elle est devenue espoir d'un futur meilleur, au point d'être considérée comme le quatrième pilier du développement durable pour l'Agenda 21. Certes, sous le chapeau des industries culturelles et créatives, l'illusion semble parfaite puisque la culture génèrerait plus de 600 milliards d'euros et représenterait 14 millions d'emplois dans l'union européenne.
Mais, face à ce constat, Jean-Michel Lucas pointe la perte de sens de ce nouveau rôle attribué au secteur culturel.
Jean-Michel Lucas pousse son analyse jusqu'à proposer une nouvelle écriture de l'Agenda 21 de la culture qui assumerait des dispositifs de débats « libres, ouverts et documentés », en lien avec des dispositifs d'action publique notamment au niveau européen.
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