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De 1911, date à laquelle il entama ses études de philosophie, jusqu'à la veille de sa mort en 1951, Ludwig Wittgenstein entretint une abondante correspondance philosophique avec des philosophes fort célèbres, avec d'autres moins reconnus, mais aussi avec des grands intellectuels.
Dans les années 1910, il fut en correspondance avec ses maîtres en logique, Gottlob Frege et Bertrand Russell, avec George Edward Moore, avec l'économiste John Maynard Keynes, ainsi qu'avec Ludwig von Ficker, l'éditeur de Der Brenner , et l'architecte Paul Engelmann, dont il fit la connaissance à Olmütz en 1916 et qui devint son ami.
Pendant les années 1920 parfois qualifiées d'« années perdues » (puisqu'il ne faisait plus alors de philosophie), Wittgenstein eut néanmoins de nombreux échanges avec C. K. Odgen autour de la traduction anglaise du Tractatus logico-philosophicus. , et il entra également en correspondance avec l'un des traducteurs de l'ouvrage, le logicien-mathématicien Frank P.
Ramsey, et avec Moritz Schlick qui prit contact avec lui dès 1924, et dont le Cercle s'engagea dans l'exégèse du Traité.
À ces premiers correspondants, s'en ajoutèrent de nombreux autres après le retour de Wittgenstein à la philosophie en 1929 : Friedrich Waismann, Rudolf Carnap auquel il adressa une unique lettre l'accusant de plagiat, l'économiste Piero Sraffa qui eut une réelle influence sur l'évolution de ses idées, et quantité d'élèves et disciples dont certains devinrent ensuite des wittgensteiniens reconnus - notamment Norman Malcolm, Rush Rhees et Georg Henrik von Wright.
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