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Le traitement de soi s'inspire des Confessions de saint Augustin. L'auteur y parle de lui-même et de la condition humaine. Il évoque sa jeunesse, sa maturité, sa vieillesse et aussi l'état du monde moderne qu'il juge sévèrement.
Au travers des chapitres comme « Le Temps », « Promenade d'automne », « Je et l'autre »..., Claude Jannoud médite sur la vie et la mort, s'interroge sur les moyens conscients ou non qu'il a utilisés pour assumer sa condition d'être humain. Il examine la manière dont on peut parler de soi sachant qu'il y a toujours deux moi, celui de l'être social et celui de l'être secret. Il explore les relations complexes avec les autres, les rapports entre les sexes, se fait à la fois avocat et procureur de lui-même. Dans le chapitre « Journal de la vieillesse », il décrit, notamment, les fantaisies de la mémoire, l'éloignement des vivants et le retour obsédant des morts, l'exil que représente le grand âge.
Ce livre ne concerne pas seulement le moi de l'auteur, mais aussi, écrit-il, cet étrange destin, à bien des égards diabolique, celui de l'homme.
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