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« Le poids des mots, le choc des photos », c'est lui. Formule saisissante qu'il aura illustrée comme nul autre, photographiant le réel à coups de sentences magistrales. La preuve par ces deux livres, qui, à bien les lire, n'en font qu'un. Fidèle à son habitude, Jean Cau y écrit comme il parlait, à la volée, facétieux et non conformiste, à la manière d'un traité de style du XVIIe siècle. Contre-attaques d'abord, bien dans sa manière offensive, joyau posthume, paru en 1993, d'où s'exhale une espérance fondatrice. Haï par les bien-pensants de gauche après sa rupture avec les existentialistes, l'écrivain occitan ne pouvait rallier à lui les bien-pensants de droite. C'est l'objet de son Discours de la décadence, sorti en 1978. Visionnaire, il y annonce en pleine guerre froide, lui qui était fort peu communiste, la renaissance de la Russie. Une fulgurance géopolitique avec quarante ans d'avance - que les fulgurances de sa langue appellent à redécouvrir.
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