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« Peut-être à cause de la vie pratique que j'ai menée, je bénis l'utilitarisme et j'en suis arrivé à penser que l'utilité et la beauté doivent se confondre, et qu'il n'existe pas d'objet usuel qui n'ait pas besoin d'être beau. » En 1906, sous le prétexte de construire sa maison idéale, Jack London dénonce violemment le paraître et le factice, qu'il juge souvent inutiles et peu fiables.
C'est également le moyen pour lui de concevoir une demeure qui, par son organisation, respectera les classes sociales, l'économie, la nature... - en un mot, l'être humain. Car la politique n'est jamais loin chez l'écrivain que l'on a trop souvent cantonné à ses romans pour enfants. Et la maison est un thème récurrent dans son oeuvre : pour preuve, un an auparavant en 1905, il avait déjà utilisé, pour décrire la société, la métaphore de l'édifice dans Ce que la vie signifie pour moi (Les Éditions du Sonneur, 2006).
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