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C'est difficile de se dire adieu : chroniques brestoises (1950-1970)

Couverture du livre « C'est difficile de se dire adieu : chroniques brestoises (1950-1970) » de Louis Gildas aux éditions Montagnes Noires
Résumé:

Brest toujours, ou plus exactement Brest la permanence. Brest ne laisse pas indifférent, on aime ou on aime pas. Ou alors pour un individu comme Louis Gildas, cʼest plus compliqué. Dʼabord il décrit une ville du passé, une ville grise et par certains côtés désespérée et joyeuse, une ville... Voir plus

Brest toujours, ou plus exactement Brest la permanence. Brest ne laisse pas indifférent, on aime ou on aime pas. Ou alors pour un individu comme Louis Gildas, cʼest plus compliqué. Dʼabord il décrit une ville du passé, une ville grise et par certains côtés désespérée et joyeuse, une ville cultivant lʼoxymore. Des souvenirs dʼune ville éborgnée, reconstruite dans un style que ne renieraient les architectes soviétiques de lʼère stalinienne. Aujourdʼhui la ville a bougé, elle sʼest colorée, sʼest souvenue quʼelle était ville maritime. Tout cela nʼexistait pas en ces années 50 et 70. On sʼembarque pour cette ville alors que le boomers, comme on dit aujourdʼhui, vivaient leurs jeunes années.

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