"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Carnet d'exténuation est un livre issu de vingt ans d'écriture et de vécu. Victime du sida à la fin des années 80, l'auteur a d'abord témoigné de son expérience par des poèmes disant l'attente de l'agonie, puis par des textes sur l'agonie « proprement » dite et sur l'amère stupéfaction de la survie, enfin par de nouveaux poèmes sur le retour incrédule au « simple » bonheur d'être. Ce livre n'a pas été prémédité. Il n'a rien d'un journal. Son unité ne s'est imposée qu'après coup, quand l'auteur a commencé à faire un tri dans le travail d'écriture qu'il n'avait jamais cessé de pratiquer. L'expérience qui se retrace ici est à la fois universelle et incomparable, unique, sans commune mesure, comme l'est aussi la voix poétique d'André Sarcq qui atteint dans ce livre une justesse et une profondeur rarement atteintes dans la littérature sur la maladie. Un livre exceptionnel, par la trajectoire évoquée et par l'éblouissement d'un style pourtant très précis.
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