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À Londres, Philip Mortimer et le jeune Richard, neveu de Francis Blake, dînent avec James Whale. Le réalisateur de L'Homme invisible prépare un film consacré à la célèbre affaire de la « Marque Jaune ».
En sortant de l'hôtel, Mortimer et Richard manquent de se faire écraser par une voiture sans conducteur. Dans la nuit, James Whale est réveillé par une voix féminine psalmodiant à la radio une phrase en forme de menace.
Intrigué, Mortimer téléphone à Blake. Celui-ci lui apprend que le docteur Septimus avait une collaboratrice : une biologiste nommée Ursula Phelps. Etrange coïncidence, Richard a récemment lu un article signé « Phelps », expliquant que l'électricité organique pouvait déplacer des objets à distance.
Bien décidés à éclaircir ce mystère, les trois hommes s'aventurent jusqu'au cottage abandonné du docteur Septimus. Dans le désordre de son laboratoire, ils vont découvrir son oeuvre ultime...
Avec cette nouvelle mêlant l'humour au surnaturel, François Rivière, biographe d'Edgar P. Jacobs, et Jean Harambat, auteur des remarqués Opération Copperhead et Detection Club, rendent hommage au cinéma fantastique et à la littérature populaire des années 30. Une histoire savoureuse au ton so british !
75 ans aujourd'hui, Happy birthday Blake et Mortimer !
D’abord un aveu, je suis novice en « Blake et Mortimer »…. Pour autant je n’ai eu aucune difficulté à lire et apprécier cette nouvelle illustrée dans cette collection hors-série où chaque album est signé par un écrivain et un dessinateur.
Ici c’est François Rivière (spécialiste de littérature policière) qui lance une enquête autour de la présence mystérieuse d’une femme sur une photo du Dr Septimus, ennemi notable des 2 héros. Qui est cette femme ?
Mortimer se lance à sa recherche avec Richard, neveu de Blake et James Whale, réalisateur célèbre des années 30 (La fiancée de Frankenstein).
Les liens avec le réel sont ténus mais intéressants, notamment sur la scène finale de la piscine du réalisateur… no spoiler !
Grand bravo à Jean Harambat pour ses illustrations élégantes qui accompagnent efficacement le propos.
Au final, un bel album format à l’italienne, pour les fans mais pas que, une histoire captivante, presque trop courte et de très belles illustrations !
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