"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Aucun résumé n'est disponible pour cet ouvrage actuellement...
J’ai vraiment aimé cet ouvrage original qui fait réfléchir sur les certitudes et les pauvres ambitions pécuniaires de beaucoup au vu des 20000 ou 30000 jours de nos vies
je ne m'attaquerai plus à un roman d'Andreï Makine. je n'arrive pas à accrocher à son écriture que je trouve trop académique, on dirait une dictée de Bernard Pivot !.... par ailleurs je trouve que l'auteur est très dur dans sa façon de présenter ses personnages, leurs sentiments, leurs actions.
j'avais lu auparavant "l'archipel d'une autre vie" qui, bien que dur également, était plus optimiste. mais là j'ai eu du mal à aller jusqu'au bout de ce roman.
On retrouve avec plaisir le style de Makine, mais on a l'impression de lire un plagiat de Houellebecq. Sans doute conscient, mais on préfère Makine à Houellebecq. La figure féminine est séduisante et mystérieuse, la quête masculine est entraînante ; on regrette un peu que l'auteur nous brutalise en nous obligeant à passer d(une histoire à une autre sans crier gare. On aime une certaine cohérence et une harmonie plus concertée.
Mon premier livre d’Andreï MAKINE qui se solde par une énorme déception, j’attendais plus de cet écrivain, de surcroit académicien.
Et pourtant le début du récit laisse entrevoir un état des lieux lucide des maux de notre société, la violence, le terrorisme, le racisme, l’homophobie…. Liste non exhaustive puisque toutes les dérives sont minutieusement dépeintes.
Tout commence par un manuscrit « Le grand déplacement » remis au narrateur. Ce texte volontiers provocateur et à contre-courant a été écrit par un jeune auteur, Vivien de Lynden, membre d’un groupe extrémiste autoproclamé les Huissards. Après le suicide de Vivien, le narrateur part sur ses traces et fait alors la connaissance de sa mère, en quête d’un éditeur , dernier hommage à son fils disparu.
Il s’ensuit une vague enquête sur l’enfance de Vivien, la vie de sa mère, les Hussards ; le narrateur croise la route d’un vieil anarchiste, entretient des relations ambigües avec la mère de Vivien.
Une succession de citations faciles, de concepts polémiques, un ton acerbe en permanence.
Très rapidement je me suis lassée à force de redites, de personnages peu attachants, de situations incohérentes et de tant de noirceur !
Qui plus est, la vision des femmes m’a agacée.
L’écriture est agréable j’en conviens mais l’ennui m’a rapidement gagnée et j’ai terminé en diagonale ce récit, guettant en vain un sursaut d’intérêt.
Bref, un livre qui n’était pas pour moi.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !