"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Atiktak l'oursonne vit sur la banquise avec sa maman. Un jour, celle-ci disparaît et Atiktak ne comprend pas pourquoi elle ne revient pas. Elle a faim, froid et le chagrin l'envahit. Grand Hata, l'ours solitaire, la prend sous sa protection. Mais Atiktak veut savoir et entreprend un long voyage en terre inuit où elle rencontre successivement Aivik le morse rouge, Tuugaalik le narval à la défense pointue, Umingmak le boeuf musqué, Tiriganiaq le renard rusé, Ukaliq le lièvre blanc, Ujjuk le phoque moustachu, Qarulluk le pétrel fulmar des neiges...
Pas à pas, ce livre-randonnée permet de comprendre l'absence et invite au temps des questions. Une histoire pour grandir et aborder avec l'enfant la grave question du deuil d'un proche.
lien vers ma chronique: http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/atiktak-michael-knight.html
Le mot de la fin : Comme pour le talisman d’Aaju, j’ai été tout de suite attirée par le sujet nordique qui me passionne. Les peintures sont très belles et magnifient le sujet. A travers cette histoire, l’auteur aborde des multiples sujets de l’enfance, l’adoption, la perte d’un parent mais également dans un autre registre, la civilisation inuite. Un cahier pédagogique final parfait cette immersion en pays sami. Un coup de cœur intemporel.
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